Ce menu regroupe toutes les chroniques que j’ai écrites depuis la création du blog.
Nous sommes dans l’Italie des années 2000. Gaia, la narratrice, vit dans une famille modeste, tenue d’une main de fer par la mère, Antonia. Une mère volontaire, au tempérament fort et fier, qui tente, non sans peine, de subvenir aux besoins de tout son petit monde.
“Entre fauves” est un roman à quatre voix, quatre personnages avec lesquels on va entrer en résonnance, changer successivement de peau, pour vivre encore plus intensément cette histoire. Un thriller qui nous emmène dans les Pyrénées et la Namibie, entre montagne enneigée et désert aride, mais entre fauves surtout.
Niels, le fils d’Éric, est parti vivre dans une ZAD, à Notre-Dame-des-Landes. Là-bas, il a rencontré des personnes qui ont la même vision de la vie que lui, la même envie de revenir à l’essentiel, et de s’éloigner de cette société de consommation.
Dans ce dernier volet de la trilogie des enfants du désastre, nous avons le plaisir de (re)découvrir Louise, l’une des figures secondaires d’”Au revoir là-haut”, qui à l’époque devait avoir une dizaine d’années. Devenue institutrice, la jeune femme travaille également comme serveuse dans le café-restaurant de monsieur Jules.
Le récit commence par une scène d’ouverture d’une grande force, qui va donner, en quelque sorte, le ton du roman. Le jour des obsèques de Marcel Péricourt, Paul Péricourt, petit-fils de Marcel et fils de Madeleine, se retrouve au coeur d’une tragédie.
J’ai beaucoup aimé ce roman, qui s’apparente davantage à une introspection de la part de son protagoniste, Paulot. Paulot et ses pensées intarissables, qui surgissent comme un cri, aussi assourdissant que les paroles qu’il n’arrive pas à prononcer. Car Paulot est en deuil. Il pleure silencieusement Moana, son fils, son passionné de surf, son amoureux de la mer.
Dans cette nouvelle histoire, Marcus vient soutenir son ami Perry Gahalowood, suite à la découverte d’une lettre anonyme remettant en cause l’enquête sur l’affaire Alaska Sanders, affaire pourtant résolue depuis onze ans. Un cold-case qui va effectivement révéler des zones d’ombre, conduisant dès lors les deux amis à rouvrir le dossier.
Dans un petit hameau de campagne quasiment désert, la famille Bergogne, composée de Patrice, Marion et Ida, ainsi que leur voisine Christine et son chien, mènent une existence des plus ordinaires. Jusqu’à ce jour où des individus louches viennent rôder dans les parages. Ce jour où tout va basculer.
Anne Shirley, une jeune et pétillante orpheline de onze ans, se retrouve à vivre chez Matthew et Marilla Cuthbert, à Green Gables. Les deux frères et sœurs attendaient la venue d’un garçon, capable de leur apporter son aide à la ferme. Au lieu de quoi, une tornade rousse, au cœur débordant d’amour, est venue bouleverser leur existence.
Mallory Quinn est embauchée par Caroline et Ted Maxwell pour s’occuper de leur fils Teddy, cinq ans, durant l’été. Pour cette ancienne droguée de vingt-et-un ans, ce travail est l’opportunité de se remettre en selle et avancer vers un avenir meilleur. Mais tout bascule lorsque Teddy commence à dessiner des oeuvres effrayantes.
Dans la ville de Milburn, quatre vieux messieurs se réunissent certains soirs pour se raconter des histoires de fantômes. Il apparaît rapidement qu’ils font partie d’un club, la “Chowder Society” et que l’un d’entre eux est mort dans d’étranges circonstances.
Quelqu’un a été assassiné ce soir et nous devons découvrir son meurtrier. C’est la seule et unique condition qui nous permettra de quitter cette demeure. Pour cela, nous sommes condamnés à revivre la même journée, chaque fois dans le corps d’un personnage différent. Mais attention, le danger rôde.
Dans la Russie du XIXe siècle, Vassili Vassilievitch Saltikov parcoure le pays afin de recueillir les différentes légendes populaires et les retranscrire dans un ouvrage. C’est ainsi qu’il se rend dans le village de Tcherepitsa, dont le lac aux reflets d’argent hébergerait des roussalki, sortes de créatures maudites s’apparentant aux sirènes. Mais, il apparaît rapidement que la venue du folkloriste cache un tout autre dessein.
Mikael Blomkvist, journaliste de Millenium, est officiellement embauché par le riche industriel Henrik Vanger pour écrire sa biographie. Officieusement, il s’agirait plutôt de faire la lumière sur la mystérieuse disparition de sa nièce Harriet, survenue quarante ans auparavant. Qu’est-il arrivé à la jeune fille de seize ans ce jour-là ? Une question qui va nécessiter des recherches approfondies, au grand dam de certains membres de la famille.
C’est avec plaisir que j’ai retrouvé tous les protagonistes de Lockwood & Co. Comme chaque fois au début d’une nouvelle histoire, nous sommes plongés au coeur de l’action. D’autant plus que la première “chasse” a lieu dans le très célèbre quartier de Whitechapel et qu’elle est déjà bien effrayante. Rien de tel pour s’immerger dans l’ambiance !
Lalie est une enfant adorable, polie, douce, brillante... seulement en apparence. Elle est beaucoup plus intelligente que la moyenne mais déploie des trésors d'ingéniosité pour le cacher à son entourage, pour se fondre dans la masse. Aux adultes, elle montre son visage d'ange, mais certains de ses camarades les moins chanceux subissent de plein fouet sa perversion.
Taukiri a dix-sept ans et Ārama huit ans et demi lorsque leurs parents décèdent. L'aîné décide alors de laisser son petit frère chez leur tante Kat et leur oncle Stu, à la campagne. Puis il part, avec pour seuls bagages sa planche de surf, sa guitare et son os sculpté.
Alors qu'Hugo Kezer s'octroie quelques jours de congés dans le sud-est de la France, les incendies qui ravagent la région vont l'obliger à reprendre du service. En collaboration avec la cellule Vulcain, spécialisée dans les feux de forêt, Kezer et Gilardini, de la cellule "Nouvelles Menaces" vont tout faire pour appréhender les responsables de ce désastre.
Le narrateur a une petite trentaine d’années lorsqu’il revient passer l’été dans la maison familiale en bord de mer. Cette maison, c’est le lieu des retrouvailles estivales de toute une tribu, où chacun à tour de rôle occupe les chambres, durant quelques jours ou quelques semaines. Oncles, tantes, cousins, cousines, enfants, les générations se succèdent autour de la grand-mère, ce pilier à la mémoire chancelante.
« Billy Summers », c’est l’histoire d’un type qui tue des types méchants, et seulement des types méchants. Du moins, c’est certainement ainsi qu’il se présenterait si on lui posait la question. Car oui, Billy Summers est un tueur à gages, « un éboueur armé d’un flingue » et un as dans sa profession.