Ce menu regroupe toutes les chroniques que j’ai écrites depuis la création du blog.
Devenue chroniqueuse judiciaire pour le magazine Slate et Arte Radio, Élise Costa va parcourir les tribunaux de France pour assister aux audiences d’affaires criminelles. Elle ne cherche pas à faire dans le sensationnalisme, mais s’attache plutôt à relater la vérité de tous ces gens, coupables comme victimes, et les circonstances qui les ont poussés à ces actes criminels.
Paul Daki-Ferrand, présentateur vedette du journal télévisé sur MD1, s’apprête à prendre l’antenne pour le 20h, lorsqu’il est pris en otage par une personne masquée à la voix déformée.
Carl vient d'être arrêté, accusé d'être à l'origine du drame qui a coûté la vie, treize ans plus tôt, à l'un de ses équipiers, et rendu tétraplégique un autre, son meilleur ami Hardy. Bien entendu, tous ses compagnons de route, Rose, Mona, Gordon, Hardy, sont convaincus de son innocence et sont bien décidés à le sortir de ce guêpier.
Milan est un adolescent français des années 1990, dont la mère est née au Rwanda. Pourtant, ce n’est qu’en 1994 qu’il prend conscience de la tragédie que connaît le pays, par le biais du journal télévisé. Quatre ans plus tard, il accompagne sa mère au pays et découvre ses racines, sa famille et une partie de son histoire.
1668. Dans la baie de Kilthorpe, sur la côte Ouest de l’Écosse, un modeste village de pêcheurs est assailli par des hommes venus de la mer, au beau milieu de la nuit. Les habitants tentent bravement de protéger leurs terres et leur famille de cette menace mortelle. À moins qu’ils ne cherchent qu’à protéger un secret bien gardé…
La narratrice apprend par un officier de police judiciaire du Havre qu’elle a semble-t-il un lien avec le cadavre d’un homme récemment repêché sur la digue. Pour cette femme, qui vit à Paris depuis de nombreuses années, c’est un choc !
Le sixième tome de la série Hannah Swensen nous propose deux histoires hivernales pour le prix d’une, « Meurtres et biscuits au sucre » et « Meurtres et cobbler aux pêches ».
Avec ce recueil, Bernard Minier nous offre des histoires aussi variées qu’intenses. Mystérieuses, diaboliques, ou encore cruelles comme l’indique le titre, elles ont toutes une ambiance qui leur est propre. Je me suis surprise à enchaîner ces histoires, avide de découvrir la prochaine sitôt après en avoir terminé une.
Dans Le bar à histoires, Isabelle Comte nous présente vingt-six nouvelles, chacune ayant pour titre le nom d'une boisson, en corrélation avec le sujet de l'histoire. Les chutes sont parfois tristes, parfois plus glorieuses, mais bien souvent inattendues.
Lors d’une exposition artistique à la Tate Modern, une sculpture de Vanessa Chapman, artiste décédée, éveille la curiosité d’un anthropologue judiciaire. Il semblerait que l’un des os utilisé pour réaliser cette œuvre soit d’origine humaine.
Berthe, cent deux ans, se retrouve en garde à vue après avoir tiré sur des policiers depuis son domicile. Mais cette "mamie Luger" n'en était pas à son coup d'essai !
Dans ce 15ème tome, Agatha Raisin s’est enfin décidée à ouvrir sa propre agence de détectives. Il ne faut pas longtemps pour que la première affaire arrive à l’agence. En effet, Mrs Laggat-Brown a besoin des services d’Agatha pour découvrir qui menace de mort sa fille Cassandra.
Le commissaire Volnay et son compagnon, le moine Guillaume, sont sur le trajet du retour de leur séjour à Venise, harassés. Alors qu’ils font halte dans une abbaye, ils apprennent le décès récent du frère prieur qui la dirigeait, et c’est dans un silence plus que monacal que nos deux compères vont prendre leurs quartiers pour la nuit.
Le shérif Grant vient d’être assassiné et Bill, le mari d’Andrea, est le principal suspect dans cette enquête, sachant qu’il s’est disputé avec son supérieur la veille. À l’insu de Mike, Hannah se charge de mener l’enquête de son côté.
Les soleils mouillés nous emmène à la rencontre de Frédérique, une jeune femme tempétueuse, passionnée de courses hippiques, dont la vie bien rangée va être bouleversée par ses retrouvailles avec son premier amour.
Sous la chaleur étouffante de l’été 1955, un bomian descend de l’autocar du Romieux, qui l’a conduit près du village de Mazet-sur-Rourle, en Provence. Un étranger de passage, mais dans ces coins de terre arides, on n’aime pas trop les étrangers. Surtout lorsqu’il s’agit d’un beau gaillard blond et tatoué, qui n’a pas l’air du pays.
La cloche de détresse raconte l'histoire d'Esther, une jeune fille de dix-neuf ans, dans l'Amérique des années 1950. C'est une étudiante extrêmement brillante, passionnée d'écriture, poétesse aussi. Nous la découvrons dans l'effervescence de son jeune âge, sa vie à New-York, partagée entre son job d'été dans un grand magazine et les soirées avec ses amies.
Avec « Les guerriers de l’hiver », Olivier Norek nous plonge dans une Guerre d’Hiver assez peu connue du grand public, celle qui a vu s’affronter russes et finlandais durant cent cinq jours, entre novembre 1939 et mars 1940. L’auteur a choisi de faire vivre son récit grâce à quelques personnages ayant réellement existé.
« Les chats de Shinjuku » nous emmène à Tokyo, à la rencontre de Yama, un jeune scénariste déprimé par sa vie, malmené par son patron, et dont le seul réconfort est d’écumer les bars du coin pour noyer son malheur. Un soir, ses pas le mènent au Kalinka, un petit bar décrépi dans le quartier de Shinjuku.
Ce roman nous plonge dans un huis clos au fond d’un puits entouré par une forêt. Deux frères, le Grand et le Petit, s’y trouvent coincés depuis peu. On ne connaît pas leur histoire, qui ils sont, ni comment ils sont tombés dedans, mais on va les suivre dans leur survie.