Ce menu regroupe toutes les chroniques que j’ai écrites depuis la création du blog.
Imaginez une île en plein mois d’octobre, sur laquelle disparitions et morts étranges se succèdent. Imaginez une brume qui obscurcit l’horizon, des habitants taiseux, un sanatorium malaisant, des yeux sans lueur et d’obscures légendes… Voici ce qui vous attend sur l’île de Blackmore !
Bienvenue dans le comté d’Absaroka pour une nouvelle enquête de notre shérif préféré, Walt Longmire. Pour des raisons que j'ai déjà expliquées dans ma chronique de Dark Horse, je n'ai pas continué la série en audio, cela dit j'ai pris beaucoup de plaisir à la découvrir avec mes yeux.
Ármann, Helena, Daníel et Gunnlaugur, des amis d’enfance, décident de se retrouver le temps d’un weekend, au coeur des montagnes islandaises, pour chasser la perdrix. Mais une tempête de neige les contraint à s’abriter dans un refuge, transformant dès lors ces retrouvailles en un véritable cauchemar.
La nuit, sur une route peu fréquentée, Vivian, son mari Hadrien et son fils Tom, ont un “accident de voiture”. Alors qu'Hadrien et Tom descendent du véhicule, l’un pour constater les dégâts éventuels, l’autre pour se soulager la vessie, ils vont disparaître sans laisser de trace.
Depuis l’enfance, Hugo Boloren, un policier taciturne, sait qu’il a “Douve dans les veines”. Il a entendu son père le dire à sa mère un jour, et depuis n’a jamais oublié ces paroles. Son père est aujourd’hui décédé, et sa mère, qui n’a plus toute sa tête, reste sourde à toutes ses questions sur le sujet.
Aby, Jude et Alex, seize ans, décident de camper durant trois jours au bord de la rivière. Comme tous les parents, les leurs ne sont pas sereins mais relativisent. Nous sommes dans un village, alors que pourrait-il bien leur arriver ? Mais ce séjour, qui avait commencé sous les meilleurs auspices, va rapidement tourner au cauchemar.
L’intrigue se déroule dans les années 70. L’inspecteur principal Schneider vient d’être muté dans une petite ville de l’est de la France. Alors qu’il prend ses quartiers en tant que chef du Groupe criminel, un homme vient signaler la disparition de sa fille Betty, quinze ans.
Notre part de nuit n’est pas un roman simple à chroniquer. En revanche, il est un des rares que j’aurais tendance à qualifier d’incomparable. Il a cette densité, cette puissance, cette rareté qui suscitent les avis les plus extrêmes et les plus vives discussions.
Quelque part en Alaska, l'hiver, la neige, et le blizzard. Un blizzard qui se lève alors que Bess et l'enfant sont là dehors. Une tempête de neige qui réduit le champ de vision, qui gèle les membres et qui embrume l'esprit. Puis l'enfant qui disparaît.
A la toute fin de « NEEDLESS STREET », juste avant les bois, se trouve une curieuse maison, qui accueille en son sein un homme prénommé Ted, sa chatte Olivia et quelquefois aussi sa fille Lauren. Un endroit devant lequel on passe rarement, à moins d’avoir précisément quelque chose à y faire.
Nous sommes dans l’Italie des années 2000. Gaia, la narratrice, vit dans une famille modeste, tenue d’une main de fer par la mère, Antonia. Une mère volontaire, au tempérament fort et fier, qui tente, non sans peine, de subvenir aux besoins de tout son petit monde.
“Entre fauves” est un roman à quatre voix, quatre personnages avec lesquels on va entrer en résonnance, changer successivement de peau, pour vivre encore plus intensément cette histoire. Un thriller qui nous emmène dans les Pyrénées et la Namibie, entre montagne enneigée et désert aride, mais entre fauves surtout.
Niels, le fils d’Éric, est parti vivre dans une ZAD, à Notre-Dame-des-Landes. Là-bas, il a rencontré des personnes qui ont la même vision de la vie que lui, la même envie de revenir à l’essentiel, et de s’éloigner de cette société de consommation.
Dans ce dernier volet de la trilogie des enfants du désastre, nous avons le plaisir de (re)découvrir Louise, l’une des figures secondaires d’”Au revoir là-haut”, qui à l’époque devait avoir une dizaine d’années. Devenue institutrice, la jeune femme travaille également comme serveuse dans le café-restaurant de monsieur Jules.
Le récit commence par une scène d’ouverture d’une grande force, qui va donner, en quelque sorte, le ton du roman. Le jour des obsèques de Marcel Péricourt, Paul Péricourt, petit-fils de Marcel et fils de Madeleine, se retrouve au coeur d’une tragédie.
J’ai beaucoup aimé ce roman, qui s’apparente davantage à une introspection de la part de son protagoniste, Paulot. Paulot et ses pensées intarissables, qui surgissent comme un cri, aussi assourdissant que les paroles qu’il n’arrive pas à prononcer. Car Paulot est en deuil. Il pleure silencieusement Moana, son fils, son passionné de surf, son amoureux de la mer.
Dans cette nouvelle histoire, Marcus vient soutenir son ami Perry Gahalowood, suite à la découverte d’une lettre anonyme remettant en cause l’enquête sur l’affaire Alaska Sanders, affaire pourtant résolue depuis onze ans. Un cold-case qui va effectivement révéler des zones d’ombre, conduisant dès lors les deux amis à rouvrir le dossier.
Dans un petit hameau de campagne quasiment désert, la famille Bergogne, composée de Patrice, Marion et Ida, ainsi que leur voisine Christine et son chien, mènent une existence des plus ordinaires. Jusqu’à ce jour où des individus louches viennent rôder dans les parages. Ce jour où tout va basculer.
Anne Shirley, une jeune et pétillante orpheline de onze ans, se retrouve à vivre chez Matthew et Marilla Cuthbert, à Green Gables. Les deux frères et sœurs attendaient la venue d’un garçon, capable de leur apporter son aide à la ferme. Au lieu de quoi, une tornade rousse, au cœur débordant d’amour, est venue bouleverser leur existence.
Mallory Quinn est embauchée par Caroline et Ted Maxwell pour s’occuper de leur fils Teddy, cinq ans, durant l’été. Pour cette ancienne droguée de vingt-et-un ans, ce travail est l’opportunité de se remettre en selle et avancer vers un avenir meilleur. Mais tout bascule lorsque Teddy commence à dessiner des oeuvres effrayantes.