Ce menu regroupe toutes les chroniques que j’ai écrites depuis la création du blog.
Nous sommes dans les années 1950, aux États-Unis, et nous allons faire connaissance avec les filles Chapel, six sœurs au doux prénom de fleur. Par une belle journée d'été, alors que les demoiselles s'amusent avec insouciance sur la plage, deux jeunes hommes vont émerger des flots.
Marie, la quarantaine, est mariée à Rodolphe, avec lequel elle a deux grandes filles adolescentes. Ses journées sont marquées par la routine d'un quotidien monotone, tandis que son mari occupe son temps entre son travail et ses maîtresses. Lasse de cette vie et de cette solitude, Marie décide de tout plaquer le jour de l'anniversaire de Rodolphe, laissant derrière elle une simple lettre.
Dans Meurtres et tarte au citron meringuée, Joanne Fluke situe cette fois-ci son intrigue en été, aux alentours de la fête d’Indépendance du 4 juillet. Norman, l’un des deux prétendants d’Hannah, vient tout juste d’acheter la maison de Rhonda Scharf, afin de la transformer selon le croquis que lui et Hannah ont imaginé pour un concours.
Avec Le manoir des glaces, Camilla Sten mise sur une intrigue de départ assez originale, puisque la protagoniste principale, Eleanor, est atteinte de prosopagnosie, c’est-à-dire qu’elle ne reconnaît pas les visages. Aussi, lorsqu’elle va croiser la personne qui vient tout juste d’assassiner sa grand-mère Vivianne, elle sera bien incapable d’en fournir une description à la police.
Alexis Laipsker entre très rapidement dans le vif du sujet et donne le ton sans ambages. Un couple est retrouvé mort dans sa maison, fermée de l’intérieur. Compte tenu de la scène, il semblerait que les deux amants se soient entretués, de façon absolument sordide, non sans avoir au préalable enfermé leur enfant dans la cave.
Dana et Basil se sont rencontrés il y a quelques mois. Les deux amoureux sont issus de milieux bien différents, aussi, lorsque Dana va pénétrer dans la grande famille Paternoster, elle va découvrir des mœurs pour le moins spéciales.
Dans ce roman, nous allons suivre Agathe et Emma, deux sœurs qui se retrouvent pour vider la maison de leur grand-mère, suite à son décès. Une maison de vacances pleine de souvenirs évocateurs, douloureux ou chaleureux, et témoin d’une complicité perdue qui ne demande qu’à renaître.
Ardeloup, 1561. Surpris par la rudesse de l’hiver qui s’installe, le docteur Aymar de Noilat, en déplacement, accepte de loger temporairement chez le laboureur du village. Mais, alors qu’il n’est sur place que depuis quelques jours, il doit faire face au terrible mal qui s’empare des habitants, un feu ardent les consumant de l’intérieur, dans d’atroces souffrances.
Ce roman nous plonge au cœur d’une petite ville de l’Ohio, qui va recevoir la visite du diable, suite à une invitation émise dans le journal local par le procureur Autopsy Bliss. En ce début d’été 1984, le diable s’est présenté sous l’apparence d’un jeune garçon à la peau noire, d’environ treize ans, et prénommé Sal.
Juliette est une jeune femme qui vit de manière assez simple, dans une “petite longère nichée dans la verdure, près de la forêt d’Orient”. Son quotidien est rythmé par son travail de femme de ménage pour différents employeurs. Très vite, nous comprenons que sa situation actuelle résulte d’un évènement passé, que nous soupçonnons tragique.
Le 21 août
Hunter est un tueur en série, à moitié indien, qui vient tout juste de s’évader de prison. C’est l’homme que Freeman traque, avec obsession, depuis la disparition de sa fille, douze ans auparavant. Une traque qui va le mener tout droit à Pilgrim's Rest, où l’évadé est revenu chasser sur ses terres.
Mara est une jeune fille qui vient de vivre un évènement traumatisant, lors duquel elle a perdu trois de ses amis. Un accident tragique qui l'a bouleversée, au point de lui provoquer une amnésie handicapante.
Dans ce troisième tome, l’auteur nous offre une intrigue sur fond d’épidémie dévastatrice, le choléra morbus, qui plonge le Paris du XIXe dans la terreur. Une peur bleue, à l’instar de ces corps cyanosés que la bactérie a contaminés sur son passage.
Dans ce deuxième tome, j'ai retrouvé la marque de l'auteur, un rythme effréné qui nous emporte sans demi-mesure au cœur d'une intrigue quelque peu surréaliste mais captivante. Les amateurs des thrillers de Nicolas Beuglet ne seront pas dépaysés.
Un jour de pluie, un vieil homme rencontré dans un salon de thé va nous conter l'histoire de Félicité et Agonie, deux sœurs jumelles, l’une passeuse de fantômes, l’autre sorcière. Le décès de leur mère Carmine et leur quête pour retrouver la trace de son fantôme est un peu le point central de ce récit incroyablement riche, où les voix et les époques s'entrelacent.
Dans ce roman, Jeanne, la narratrice, nous raconte son enfance marquée par la violence paternelle, puis sa construction en tant qu’adulte, avec ce lourd bagage dans son sillage. Dès la première phrase, l’autrice donne le ton et ne laisse aucune place au doute quant à ce qu’elle s’apprête à nous raconter. Autant vous dire que si vous pensez pouvoir lire ce roman sans vous investir émotionnellement, cela risque d’être compliqué.
Le voyage dans le temps, un concept qui a inspiré de nombreuses oeuvres, cinématographiques et littéraires, au fil des décennies. Un concept auquel on a tous déjà pensé, au moins une fois dans sa vie, le plus souvent guidé par l’envie de réparer une erreur de parcours. Et s’il existait un endroit dans le monde qui vous permettrait de retourner dans le passé ? Et si je vous disais que cet endroit existe bel et bien, et qu’il s’agit d’un petit café tokyoïte, nommé Funiculi funicula.
Le couple de Scott et Hayley bat de l’aile ces derniers temps, aussi, pour tenter de retrouver une certaine cohésion, ils décident d’organiser un road-trip à travers l’outback Australien, en compagnie de deux autres jeunes qu’ils ne connaissent pas, Livia et Joost.
"On était des loups", c'est le genre de roman qui me procure tout un tas d'émotions, en dépit de sa brièveté. Le genre de roman que je vis plus que je ne lis, d'autant que celui-ci est raconté à la première personne. J'ai été immédiatement séduite par le langage, très oral, qui rend le récit plus authentique et vivant.
Vous pensiez que les romans historiques étaient du genre ennuyeux à mourir ? Maurice Druon nous démontre le contraire avec son histoire de rois maudits ! Dès son premier volet, cette saga révèle son lot d’intrigues ourdies en secret, de personnages retors et d’amants cachés qui font toute la saveur et l’intérêt de cette fresque passionnante.