Tous les livres audio que j’ai écoutés et chroniqués.
Dans ce récit en plusieurs parties, David Grann nous raconte l'épopée du Wager, un vaisseau britannique ayant fait naufrage en 1741, sur une « île désolée au large du littoral de Patagonie ». S'en suivra un chaos tout aussi tragique pour la poignée de survivants, et qui se terminera par un procès de grande envergure.
Avec Le tombeau des immortels, nous voici propulsés dans l'antre de la Magna Vampyria américaine, où l'ombre de Louis L'Immuable pèse sur tout le territoire. Le peuple subit le joug des seigneurs de la nuit, par le biais des membres de la Faculty, vils vassaux de l'ombre, au zèle inébranlable.
Alors qu’elle fait ses devoirs, Mona, dix ans, se retrouve subitement atteinte de cécité. soixante-trois minutes de noir et d’angoisse, que ne parviendront pas totalement à apaiser les résultats d’examens du médecin, inapte à fournir une explication quant à cet évènement.
Alexis Laipsker entre très rapidement dans le vif du sujet et donne le ton sans ambages. Un couple est retrouvé mort dans sa maison, fermée de l’intérieur. Compte tenu de la scène, il semblerait que les deux amants se soient entretués, de façon absolument sordide, non sans avoir au préalable enfermé leur enfant dans la cave.
Dans ce roman, nous allons suivre Agathe et Emma, deux sœurs qui se retrouvent pour vider la maison de leur grand-mère, suite à son décès. Une maison de vacances pleine de souvenirs évocateurs, douloureux ou chaleureux, et témoin d’une complicité perdue qui ne demande qu’à renaître.
Ce roman nous plonge au cœur d’une petite ville de l’Ohio, qui va recevoir la visite du diable, suite à une invitation émise dans le journal local par le procureur Autopsy Bliss. En ce début d’été 1984, le diable s’est présenté sous l’apparence d’un jeune garçon à la peau noire, d’environ treize ans, et prénommé Sal.
Dans ce troisième tome, l’auteur nous offre une intrigue sur fond d’épidémie dévastatrice, le choléra morbus, qui plonge le Paris du XIXe dans la terreur. Une peur bleue, à l’instar de ces corps cyanosés que la bactérie a contaminés sur son passage.
Un jour de pluie, un vieil homme rencontré dans un salon de thé va nous conter l'histoire de Félicité et Agonie, deux sœurs jumelles, l’une passeuse de fantômes, l’autre sorcière. Le décès de leur mère Carmine et leur quête pour retrouver la trace de son fantôme est un peu le point central de ce récit incroyablement riche, où les voix et les époques s'entrelacent.
Dans ce roman, Jeanne, la narratrice, nous raconte son enfance marquée par la violence paternelle, puis sa construction en tant qu’adulte, avec ce lourd bagage dans son sillage. Dès la première phrase, l’autrice donne le ton et ne laisse aucune place au doute quant à ce qu’elle s’apprête à nous raconter. Autant vous dire que si vous pensez pouvoir lire ce roman sans vous investir émotionnellement, cela risque d’être compliqué.
Le voyage dans le temps, un concept qui a inspiré de nombreuses oeuvres, cinématographiques et littéraires, au fil des décennies. Un concept auquel on a tous déjà pensé, au moins une fois dans sa vie, le plus souvent guidé par l’envie de réparer une erreur de parcours. Et s’il existait un endroit dans le monde qui vous permettrait de retourner dans le passé ? Et si je vous disais que cet endroit existe bel et bien, et qu’il s’agit d’un petit café tokyoïte, nommé Funiculi funicula.
"On était des loups", c'est le genre de roman qui me procure tout un tas d'émotions, en dépit de sa brièveté. Le genre de roman que je vis plus que je ne lis, d'autant que celui-ci est raconté à la première personne. J'ai été immédiatement séduite par le langage, très oral, qui rend le récit plus authentique et vivant.
Vous pensiez que les romans historiques étaient du genre ennuyeux à mourir ? Maurice Druon nous démontre le contraire avec son histoire de rois maudits ! Dès son premier volet, cette saga révèle son lot d’intrigues ourdies en secret, de personnages retors et d’amants cachés qui font toute la saveur et l’intérêt de cette fresque passionnante.
Imaginez une île en plein mois d’octobre, sur laquelle disparitions et morts étranges se succèdent. Imaginez une brume qui obscurcit l’horizon, des habitants taiseux, un sanatorium malaisant, des yeux sans lueur et d’obscures légendes… Voici ce qui vous attend sur l’île de Blackmore !
Ármann, Helena, Daníel et Gunnlaugur, des amis d’enfance, décident de se retrouver le temps d’un weekend, au coeur des montagnes islandaises, pour chasser la perdrix. Mais une tempête de neige les contraint à s’abriter dans un refuge, transformant dès lors ces retrouvailles en un véritable cauchemar.
L’intrigue se déroule dans les années 70. L’inspecteur principal Schneider vient d’être muté dans une petite ville de l’est de la France. Alors qu’il prend ses quartiers en tant que chef du Groupe criminel, un homme vient signaler la disparition de sa fille Betty, quinze ans.
Notre part de nuit n’est pas un roman simple à chroniquer. En revanche, il est un des rares que j’aurais tendance à qualifier d’incomparable. Il a cette densité, cette puissance, cette rareté qui suscitent les avis les plus extrêmes et les plus vives discussions.
Quelque part en Alaska, l'hiver, la neige, et le blizzard. Un blizzard qui se lève alors que Bess et l'enfant sont là dehors. Une tempête de neige qui réduit le champ de vision, qui gèle les membres et qui embrume l'esprit. Puis l'enfant qui disparaît.
Nous sommes dans l’Italie des années 2000. Gaia, la narratrice, vit dans une famille modeste, tenue d’une main de fer par la mère, Antonia. Une mère volontaire, au tempérament fort et fier, qui tente, non sans peine, de subvenir aux besoins de tout son petit monde.
“Entre fauves” est un roman à quatre voix, quatre personnages avec lesquels on va entrer en résonnance, changer successivement de peau, pour vivre encore plus intensément cette histoire. Un thriller qui nous emmène dans les Pyrénées et la Namibie, entre montagne enneigée et désert aride, mais entre fauves surtout.
Dans ce dernier volet de la trilogie des enfants du désastre, nous avons le plaisir de (re)découvrir Louise, l’une des figures secondaires d’”Au revoir là-haut”, qui à l’époque devait avoir une dizaine d’années. Devenue institutrice, la jeune femme travaille également comme serveuse dans le café-restaurant de monsieur Jules.