Je ne rédige pas toujours de chronique pour chaque livre lu, mais grâce à cette page, j’ai dans l’idée de partager brièvement avec vous mes avis de lecture « à chaud ». Quelques lignes, parfois quelques mots, qui peuvent s’avérer suffisants pour vous donner ou non l’envie de découvrir un ouvrage. Ces articles ne sont pas destinés à remplacer mes chroniques, que j’adore écrire.
En juillet, j’ai lu 6 livres en papier 📕, 12 en numérique 📗 et 2 en audio 🎧 + 1 BD numérique :
Il se trouve que j’ai vraiment beaucoup lu en juillet, sûrement parce que, a contrario, j’ai très peu écrit. C’est aussi un mois où j’ai fait d’excellentes lectures, marquantes, drôles ou émouvantes, parfois tout cela à la fois.
🎧Voici demain de Valentin Musso, 4h09min
📕Diou Boccanera, tome 1 : Boccanera de Michèle Pendinielli, 215 pages
📕Mater Dolorosa de Jurica Pavičić, 395 pages
📗Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan de Roland Perez, 224 pages
📗L’or maudit, tome 1 de Mireille Calmel, 326 pages
📗La fille au pair de Sidonie Bonnec, 320 pages
📗Martin Servaz, tome 5 : Soeurs de Bernard Minier, 480 pages
📗Les thés meurtriers d’Oxford, tome 5 : Tôt ou tarte de H.Y. Hannah, 320 pages
🎧Le tourbillon des possibles de Clara Héraut, 9h46min
📗Hannah Swensen, tome 7 : Meurtres et cheescake aux cerises de Joanne Fluke, 416 pages
📗Les petits de Décembre de Kaouther Adimi, 256 pages
📕Sharko & Henebelle, tome 4 : La mémoire fantôme de Franck Thilliez, 441 pages
📗Le pays des autres, tome 2 : Regardez-nous danser de Leïla Slimani, 368 pages
📗Agatha Raisin, tome 17 : Cache-cache à l’hôtel de M.C. Beaton, 324 pages
📗Old Pa Anderson de Yves Huppen et Hermann Huppen, 64 pages
📕Malaven d’Olivier Bal, 462 pages
📗L’assassin royal, tome 8 : La secte maudite de Robin Hobb, 448 pages
📗Nos étoiles filantes de Laure Manel, 411 pages
📕La saga des Cazalet, tome 3 : Confusion d’Elizabeth Jane Howard, 512 pages
📕Charlotte et Thomas Pitt, tome 1 : L’étrangleur de Cater street d’Anne Perry, 384 pages
📗Époque de Laura Poggioli, 253 pages
Meilleures lectures du mois

Les articles du blog les plus lus en juillet 2025
1. La psy de Freida McFadden ; 2. Le mangeur d’âmes d’Alexis Laipsker ; Panorama de Lilia Hassaine.



Voici demain de Valentin Musso

Nextory
« Voici demain » a été une très bonne surprise, une lecture qui m’a happée du début à la fin, même si j’aurais apprécié qu’elle soit un peu plus dense. Finalement, le seul point que je pourrais reprocher à ce roman, c’est d’être trop court. Ça m’aurait beaucoup plu d’avoir une histoire plus étoffée, car il y a tout a fait matière à instaurer une ambiance oppressante sur la durée. Lire la chronique.
Diou Boccanera, tome 1 : Boccanera de Michèle Pendinielli

Découvert sur le blog Collectif Polar, je me suis régalée avec ce roman et surtout sa génialissime protagoniste cinquantenaire, « chaussée de Doc Martens huit trous », Ghjulia Boccanera, alias Diou.
J’ai eu un vrai coup de coeur pour le personnage de Diou, et si l’intrigue avait été un peu plus corsée, j’aurais eu un coup de coeur pour ce livre. Pas étonnant que le roman porte son nom, elle fait toute la saveur de ce tome d’introduction et pour une première rencontre, c’est une réussite. J’ai totalement adhéré à son humour, à ses expressions du sud, à son naturel. Lire la chronique.
Mater Dolorosa de Jurica Pavičić

« Mater Dolorosa » est un roman policier lent, pesant, qui m’a laissé un étrange sentiment de tristesse. C’est d’autant plus saisissant que le décor m’a paru d’une sobriété accablante, si ce n’est cette Mater Dolorosa au « cœur jaune chromé », qui dénote dans cet univers gris béton. Pour autant, ne vous méprenez pas, j’ai aimé cette lecture. J’ai aimé son originalité, son réalisme, sa dualité constante, les questionnements qui accaparent les protagonistes. C’est le genre de roman policier qui tire un peu vers le roman noir et que j’aimerais lire plus souvent. Lire la chronique.
Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan de Roland Perez


Je ne suis pas particulièrement friande des autobiographies et autres témoignages, mais j’avais entendu beaucoup de bien de ce récit, alors je me suis lancée. Bien m’en a pris, car je me suis absolument régalée.
Ce livre est un magnifique hommage à la mère de l’auteur, je trouve. À cette force et cette ténacité incroyable avec lesquelles elle s’est battue pour son fils. À sa grande générosité. Elle m’a tellement touchée, tellement fait rire aussi. Et puis, c’est aussi la vie dans ce qu’elle a de plus beau, les réunions avec les voisines, le brouhaha ambiant, l’entraide et puis Sylvie Vartan.
J’ai dévoré cette histoire ce matin, en quelques heures. Un livre magnifique, à la fois bouleversant et drôle, qui met du baume au coeur. Je n’ai qu’une seule chose à dire, lisez-le !
L’or maudit, tome 1 de Mireille Calmel

L’intrigue se situe en 1313, sous le règne de Philippe Le Bel, après l’exécution des derniers Templiers. Margaux de Dente est l’héroïne attachante d’une saga qui porte son nom, et les deux tomes de l’Or maudit peuvent se lire en parallèle. Un roman historique comme je les aime, où il est question d’or, de complots, de mystères et d’effrayants inquisiteurs.
La fille au pair de Sidonie Bonnec

Le scénario, fait de suspense et de mystères intrigants, me plaisait assez, malheureusement, j’ai fini par décrocher, trouvant la suite vraiment trop incroyable et poussive. Selon moi, l’intrigue manquait un peu de subtilité, et j’aurais aimé plus de profondeur psychologique.
« La fille au pair » a été une lecture mitigée, mais avec malgré tout un bon début, qui a su me séduire. Cela étant, je n’oublie pas qu’il s’agit là d’un premier roman. Lire la chronique.
Martin Servaz, tome 5 : Soeurs de Bernard Minier

« Soeurs » est encore une très bonne enquête de Martin Servaz , et c’est chaque fois un plaisir de retrouver le style de Bernard Minier. J’avais lu le précédent tome de la série quasiment en apnée, tellement la tension y était présente. Dans celui-ci, le rythme est plus posé mais l’enquête tout aussi captivante. À vrai dire, j’ai trouvé ce tome plus « reposant », si tant est qu’on puisse qualifier ainsi un roman à l’intrigue aussi sombre. Il faut dire que les aventures de Martin Servaz mettent souvent à mal mon petit coeur, alors j’ai apprécié le répit. Lire la chronique.
Les thés meurtriers d’Oxford, tome 5 : Tôt ou tarte de H.Y. Hannah

Je continue avec plaisir la saga des Thés meurtriers d’Oxford, dont j’apprécie beaucoup le décor, Oxford et ses alentours, et le chaleureux salon de thé de notre chère Gemma. Dans cette cinquième enquête, Gemma est témoin de la mort d’un étudiant lors des festivités du premier mai. Il semblerait que ce dernier ne soit pas mort en sautant du Magdalen Bridge, mais plutôt poignardé. Gemma se retrouve encore une fois au coeur d’une affaire de meurtre, talonnée de près par les rocambolesques « vieilles chouettes ». Une série que j’apprécie autant pour ses protagonistes, qui sont un peu comme de vieilles connaissances que je retrouve chaque fois avec plaisir, que pour les enquêtes au suspense plutôt bien mené. Un cozy mystery comme je les aime.
Le tourbillon des possibles de Clara Héraut

Spotify
J’ai découvert Clara Héraut l’an dernier, avec « Les coquillages ne s’ouvrent qu’en été », qui a été un magnifique coup de coeur. Alors, je me suis jetée les yeux fermés sur ce « Tourbillon des possibles », déjà convaincue que je l’aimerai. Pourtant, au départ, ça ne l’a pas vraiment fait et je me suis même dit que j’allais abandonner ma lecture. Deux raisons à cela : la protagoniste principale, que je trouvais irritante au possible, et le côté conversation Whatsapp, qui m’agaçait au plus au point. Et puis, j’ai fait abstraction et je me suis glissée dans cette histoire pour finalement ne plus la lâcher.
Avec « Le tourbillon des possibles », Clara Héraut montre une fois encore qu’elle est une écrivaine de l’universel. Elle sait parler à notre âme, et qu’on soit génération 2001, génération 2006, ou génération 1984, comme moi, cette histoire trouve facilement écho. Lire la chronique.
Hannah Swensen, tome 7 : Meurtres et cheescake aux cerises de Joanne Fluke

C’est l’effervescence à Lake Eden, un film est en cours de tournage dans la rue principale, et beaucoup d’habitants seraient ravis d’y figurer. Mais tous ne connaissent pas le producteur et scénariste, à l’instar de notre pâtissière préférée.
J’ai encore une fois passé un bon moment avec cette enquête d’Hannah Swensen. Ce que j’aime, c’est surtout le côté cosy, la petite ville où tout le monde se connaît, se croise ou s’ignore, vaque à ses occupations. Dans ce tome-ci, c’est encore plus flagrant, car le crime arrive assez tard dans le récit, et compte moins que toute l’atmosphère autour. Cela dit, l’enquête est toujours aussi pleine de suspense et captivante.
En revanche, je suis absolument lassée, pour ne pas dire agacée, par cette triangulaire amoureuse, que je trouve dénuée d’émotions, pas du tout crédible et très kitsch. Franchement, l’autrice aurait pu se passer de cet aspect dans ses romans, ça n’aurait pas du tout été gênant.
Heureusement, ça n’empêche pas que les enquêtes d’Hannah Swensen ont un goût de reviens-y, et que j’y retourne chaque fois avec autant de plaisir.
Les petits de Décembre de Kaouther Adimi

Un vrai plaisir cette lecture ! C’est une histoire qui m’a beaucoup touchée parce qu’elle parle d’enfants qui se battent pour leurs idées, parce que leur solidarité fait vibrer. Les généraux veulent tous croire qu’il y a derrière leur combat de la politique, sous-entendu d’autres adultes qui leur mettent des idées dans la tête. Mais non, tout ce qu’ils veulent ces mômes, c’est continuer à jouer au foot sur leur terrain vague. Ces généraux, ils ont déjà de l’argent, alors pourquoi veulent-ils prendre le peu de chose que ces gosses ont à eux ! C’est une très belle lecture, qui évoque également l’histoire de l’Algérie. Bref, j’ai adoré !
Sharko & Henebelle, tome 4 : La mémoire fantôme de Franck Thilliez

Je poursuis ma découverte de la saga Sharko & Henebelle. Cette enquête est menée par Lucie, une protagoniste toujours aussi pleine de mystères, bien que ce tome nous en révèle un peu plus sur son passé et son histoire.
Lucie prend en charge une jeune femme, retrouvée errante et blessée, par un temps sordide. Alors que son comportement laisse présager un choc post traumatique, elle est en réalité suivie pour une amnésie antérograde depuis plusieurs années, un trouble l’empêchant de fabriquer des souvenirs et lui faisant tout oublier au fur et à mesure. Dès lors, savoir ce qui s’est passé, qui lui a infligé ses blessures et l’a séquestrée va s’avérer compliqué.
Une fois de plus, l’auteur nous plonge, au travers de cette enquête, dans un sujet passionnant et documenté, avec une petite dose de mathématiques pour corser le tout. Une chose est sûre, il ne manque pas d’imagination. Lucie Henebelle est une enquêtrice chevronnée, et son duo avec Manon Moinet, la victime, fonctionne bien.
Une enquête riche et complexe, comme toujours un peu glauque sur les bords, et qui se lit d’une traite, parce que, oui, on veut connaître à tout prix le fin mot de l’histoire.
Le pays des autres, tome 2 : Regardez-nous danser de Leïla Slimani

J’ai retrouvé avec plaisir tous les protagonistes de cette saga familiale, même les secondaires. J’ai aimé plonger dans le Maroc de la fin des années soixante, voir les membres de cette famille évoluer, s’égarer ou s’affirmer. L’autrice mêle la petite et la grande histoire et je trouve ça instructif et passionnant.
Si ce n’est pas déjà fait, je vous invite à découvrir la famille Belhaj, Amine, Mathilde, Aïcha, Selim et tous les autres.
Agatha Raisin, tome 17 : Cache-cache à l’hôtel de M.C. Beaton

Pour une fois, ma lecture n’a pas commencé sous les meilleurs auspices. La raison tient en deux mots, deux mots qui me brûlent la gorge. James Lacey. Je déteste ce personnage, et le voir tenter de revenir dans la vie d’Agatha me hérisse les poils. Elle n’est plus la même quand il est dans les parages. Je ne sais pas comment il se débrouille, mais il fait toujours ressortir le pire de sa personnalité. Oui, je parle comme s’ils étaient de vraies personnes. Il faut dire que cette enquête-ci est la 17ème, alors c’est un peu comme si je les connaissais.
Voici donc nos deux ex amants partis passer quelques jours de vacances dans un trou paumé que James aimait beaucoup quand il était enfant. Seulement voilà, les années ont passé, et la ville a sérieusement dépéri. Et pour couronner le tout, Agatha se retrouve soupçonnée de meurtre à cause d’une écharpe.
Heureusement, elle va pouvoir compter sur ses amis, qui à tour de rôle viendront apporter leur pierre à l’édifice.
J’ai trouvé ce tome un peu en-dessous des précédents, ou plutôt, disons que je n’y ai pas pris le même plaisir. Cela dit, je suis toujours ravie de retrouver les personnages de cette série, du moins ceux qui ne s’appellent pas James Lacey.
Old Pa Anderson de Y. H et Hermann

J’ai beaucoup aimé cette BD, dont l’histoire se déroule dans le Mississippi des années cinquante, à une époque où les crimes raciaux sont monnaie courante. Et le vieux Pa Anderson a des comptes à régler, une injustice à réparer. Maintenant que sa femme est morte et qu’il n’a plus rien à perdre, il est prêt à venger sa petite-fille assassinée. Une BD qui m’a prise aux tripes.
Malaven d’Olivier Bal

Un thriller qui joue sur les temporalités, où passé et présent se superposent et s’entremêlent dans l’énigmatique décor de Malaven, une île bretonne, qui fût le théâtre d’un drame vingt ans auparavant. Une île qui semble concerner chacun des protagonistes de cette histoire, raison pour laquelle ils y ont été invités par un célèbre nom de la littérature, Jonas Waverley.
Comme souvent lorsqu’il est question de double temporalité, j’ai eu une légère préférence pour la partie passée, où l’on découvre la naissance des amitiés, les lieux et les personnages emblématiques de l’île. Surtout, j’ai apprécié découvrir page après page le déroulé des évènements qui ont conduit à la tragédie, et cette atmosphère angoissante, presque claustrophobique, qui selon moi est le gros point fort de ce roman.
Quant à l’intrigue, j’ai vu venir certains points, sans doute car cela m’a rappelé un roman d’Agatha Christie, mais ça n’a pas gâché mon plaisir de lecture.
L’assassin royal, tome 8 : la secte maudite de Robin Hobb

C’est toujours un plaisir de lire un nouvel épisode de cette saga fantasy que j’adore. J’ai retrouvé les personnages avec joie, surtout Oeil-de-nuit, Fitz et le Fou. J’ai également été touchée par Devoir, ce jeune prince qui doit sans cesse faire honneur à son titre et à la lignée des Loinvoyant, aux dépens de ses propres envies.
Nos étoiles filantes de Laure Manel

Très vite, j’ai compris que ce livre allait me transporter, et je l’ai d’ailleurs dévoré dans la journée. Je me demande même si ce n’est pas un coup de coeur, car depuis que je l’ai terminé, je ne cesse d’y penser.
J’ai trouvé ce roman tellement apaisant, tellement ressourçant, que je n’avais pas envie qu’il se termine. C’est le genre d’histoire qui vous enveloppe de douceur et qui vous procure une sensation de bien-être instantanée, où plus rien d’autre n’existe autour. Difficile, après une telle lecture, de plonger dans une autre, alors que mon coeur était encore tout entier dans celle-ci. Lire la chronique.
La saga des Cazalet, tome 3 : Confusion d’Elizabeth Jane Howard

Je poursuis ma découverte de cette saga familiale que j’aime beaucoup, même si j’ai trouvé ce tome un peu moins palpitant que les précédents. Cela étant, je suis chaque fois ravie de retrouver tous les protagonistes – et il y en a quelques-uns ! – mais aussi de plonger dans le contexte historique de cette époque, de découvrir comment le pays a affronté cette période de guerre et ses conséquences.
Charlotte et Thomas Pitt, tome 1 : L’étrangleur de Cater street d’Anne Perry

J’ai tout simplement adoré l’atmosphère de ce livre. J’ai aimé pénétrer dans les coulisses de cette Angleterre victorienne, observer les différences entre les classes et les sexes. Les personnages de Charlotte et Thomas m’ont beaucoup plu parce qu’ils tentent tous deux, chacun à leur manière, de s’émanciper du système.
J’ai passé un excellent moment de lecture avec « L’étrangleur de Cater Street », et je n’ai qu’une hâte me plonger dans le deuxième tome. Sans trop attendre cela dit, car la série est longue ! Lire la chronique.
Époque de Laura Poggioli

Rares sont les romans qui m’ont autant fichu le moral dans les chaussettes que celui-ci. Le sujet est très intéressant, mais l’analyse faite par l’autrice très angoissante.
« Époque » est une lecture qui a quelque chose d’incroyablement réaliste et attractif. Addictif, oserais-je dire… Pour un livre qui évoque l’addiction, voilà qui tombe à point nommé. Lire la chronique (le 10 sept.).

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Magnifique bilan. J’en ai lu quelques uns, mais je vois deux séries de cosy que j’aimerais découvrir, quant à Agatha Raisin je n’ai lu que le premier. Bonne semaine
Joli bilan lecture pour juillet !
Voici demain sera probablement mon prochain livre audio 🙂
Merci pour ta superbe présentation, Caroline ! Je mets ton coup de coeur dans ma liste à lire en me disant que je ne dois plus prêter attention ni m’arrêter aux titres 😉
Comme toujours, il y a une belle variété de livres chez toi 🙂
À force d’en entendre parler, Voici demain me tente bien…
Bon mois de septembre !
Hâte de lire ta chronique sur le roman « Epoque ». Mais si le traitement du sujet est angoissant, je suis prête à parier que ce livre restera encore un bon moment dans ma pal 😉
Un très chouette bilan Caroline, avec beaucoup de belles découvertes ! Comme je te l’avais déjà dit, le Valentin Musso me tente bien 😉
Je n’ai pas lu le livre Dieu m’a mère et Sylvie Vartan, mais par contre j’ai vu le film qui est très touchant, pleins d’amour. Un bien joli bilan de tes lectures estivales Caroline. Merci du partage !