Je ne rédige pas toujours de chroniques pour chaque livre lu, mais grâce à cette page, j’ai dans l’idée de partager brièvement avec vous mes avis de lecture « à chaud ». Quelques lignes, parfois quelques mots, qui peuvent s’avérer suffisants pour vous donner ou non l’envie de découvrir un ouvrage. Ces articles ne sont pas destinés à remplacer mes chroniques, que j’adore écrire.
C’est avec un peu de retard que je vous présente le bilan de mes lectures de juillet, celui d’août suivra.
Livres :
- Feux dans la plaine d’Olivier Ciechelski, 5h49min 🎧
- Il ne se passe jamais rien ici d’Olivier Adam, 368 pages
- L’or des rivières de Françoise Chandernagor, 304 pages
- Un dernier été d’Elin Hilderbrand, 12h58min 🎧
- Un enfant sans histoire(s) d’Amélie Antoine, 268 pages
- Le bruit de Marine Monville, 103 pages
- Pachinko de Min Jin Lee, 16h15min 🎧
- Les silences d’Ogliano d’Elena Piacentini, 208 pages
- Ce que je sais de toi d’Éric Chacour, 10h 🎧
- Duel de Frank Leduc, 384 pages
- Enigma d’Armelle Carbonel, 392 pages
- Seules les bêtes de Colin Niel, 224 pages
- Les sept soeurs, tome 2 : La soeur de la tempête de Lucinda Riley, 768 pages
- Agatha Raisin, tome 14 : Gare aux fantômes de M.C. Beaton, 342 pages
Graphiques :
Feux dans la plaine d’Olivier Ciechelski
Ce thriller aux accents de roman noir avait tout pour me plaire. Les premiers chapitres, j’ai cru trouver ce que j’étais venu chercher, une sensation d’ancrage au monde, à la vraie vie, avec un protagoniste devenu “ours” par la force des choses, en recherche de solitude et de sobriété. Seulement, tout va déraper lorsqu’un chasseur, accessoirement meneur d’une troupe armée, prend la mouche pour une histoire de chemin et de propriété. S’ensuit alors un “seul contre tous” oppressant, sorte de huis clos en pleine nature, à l’ambiance plus hostile que bucolique. L’isolement prend rapidement le pas sur la solitude, et l’espoir ne tient désormais qu’à un fil. Certains passages sont captivants et d’autres font indubitablement monter la tension, mais j’ai trouvé l’ensemble trop irréaliste et pas assez nuancé pour l’apprécier pleinement. Lire la chronique.
Il ne se passe jamais rien ici d’Olivier Adam
Une jeune femme est retrouvée morte, dans un village au bord du lac d’Annecy. Un événement tragique qui vient chambouler toutes ces existences bien huilées et faire voler en éclats la tranquillité de façade de cette petite bourgade. Il n’y aura désormais plus personne pour oser dire que « il ne se passe jamais rien ici »
Dans ce roman choral un peu particulier, nous allons entendre plusieurs personnages, qui vont répondre aux questions des enquêteurs. Alors que les interrogatoires se succèdent, on découvre des pans de l’histoire, des témoignages divergents ou convergents, des secrets et des révélations, des doutes ou des certitudes.
Un roman qui tient presque du roman noir social, où l’auteur aborde des thématiques très intéressantes de manière très juste, telles que la vie en milieu rural, les relations intra-familiales, mais aussi les violences faites aux femmes. Il ne se passe jamais rien ici est un roman qui m’a totalement conquise, que j’ai trouvé plein d’humanité et émouvant. Une belle surprise, à découvrir sans aucun doute ! Lire la chronique.
L’or des rivières de Françoise Chandernagor
J’ai adoré cette lecture ! Mais comment vous parler d’un tel livre ?! J’ai été émue par ces mots, qui ont résonné en moi au point parfois de me soutirer quelques larmes d’émotion. L’autrice parle de la Creuse, mais je transpose assez facilement son “constat” concernant l’environnement, la biodiversité etc, à mes Landes de Gascogne. J’aime aussi les anecdotes qu’elle nous livre, les sobriquets, les histoires de vie. Bref, j’ai fait confiance à mon éclaireur favori sur Babelio, et je ne le regrette pas. Je vous invite à lire son avis, qui retranscrit à merveille ce que j’ai ressenti.
Un dernier été d’Elin Hilderbrand
Vivi, célèbre écrivaine qui vit sur l’île de Nantucket, décède après avoir été percutée par une voiture qui a pris la fuite. Elle est alors accueillie par son ange-gardien Martha, qui, compte-tenu de la soudaineté de sa mort, lui accorde trois coups de coude pour changer le cours de certains évènements dans le monde des vivants.
« Un dernier été » est un roman sympathique, avec un petit suspense qui tient la route et qui m’a fait passer un bon moment de lecture estival. Lire la chronique.
Un enfant sans histoire(s) d’Amélie Antoine
La vie d’une famille va se retrouver chamboulée par l’arrivée de Volodya, l’ami imaginaire de Vadim, l’aîné de la fratrie. Un ami qui va devenir véritablement envahissant, angoissant même, au point que les parents, au fil des mois, ne vont plus reconnaître leur fils, si posé et si gentil d’ordinaire.
Un enfant sans histoire(s) se présente sous forme de roman choral, dans lequel nous découvrons différents témoignages, suite à un événement tragique dont nous ignorons tout. Un thriller psychologique rondement mené, où les interrogations et les doutes subsistent jusqu’à la fin. Les questionnements des deux parents nous ouvrent la porte vers des possibilités diverses, chacun ayant sa propre idée sur la situation. le roman prend des accents tantôt fantastiques, tantôt psychologiques, maintenant un climat anxiogène fort réussi. La tension demeure à son comble, jusqu’à la chute…
J’apprécie toujours autant la plume d’Amélie Antoine, qui sait maintenir le suspense avec brio. Un roman marquant et poignant, que j’ai dévoré en quelques heures ! Lors de ma lecture, j’ai malgré tout très souvent pensé à un autre roman que j’adore, et c’est peut-être le seul petit bémol que j’ai trouvé à ce livre, cette impression de déjà-vu. Lire la chronique.
Le bruit de Marine Monville
Une femme vient tout juste d’emménager dans l’appartement de ses rêves, en plein cœur de Paris. Un rêve qui va rapidement tourner au cauchemar, avec ces cognements incessants dans le mur qui vont finir par la rendre folle si elle n’en trouve pas la provenance.
Le sujet de ce livre, pour le moins original, a immédiatement résonné en moi, car je supporte assez mal le bruit, surtout quand il est incessant et pas du tout naturel. Cela étant j’ai trouvé que ce thriller psychologique manquait un peu de tension. Les ellipses temporelles et le côté un peu répétitif des situations ont eu raison de mon intérêt, d’autant que j’ai trouvé la protagoniste assez imbuvable et que je n’ai éprouvé aucune compassion pour elle. Malheureusement, j’ai besoin d’intensité émotionnelle pour apprécier pleinement une lecture.
Sinon, la tournure de cette histoire m’a fait penser à la thématique explorée avec brio par Damián Szifron dans son film Les nouveaux sauvages. Film que j’adore soit-dit en passant.
Pachinko de Min Jin Lee
Pachinko est un roman historique qui débute dans les années 1930 en Corée, et dans lequel nous allons découvrir l’histoire de Sunja. À travers elle, l’autrice va évoquer les questions d’immigration, le sentiment d’exclusion, ou encore le racisme auquel les Coréens ont dû faire face. Des problématiques qui marqueront plusieurs générations, comme les enfants et arrière-petits enfants de Sunja.
J’ai beaucoup aimé cette fresque poignante ainsi que ses merveilleux protagonistes, mais j’aurais tellement voulu plus. J’aurais aimé une histoire encore plus dense et publiée sous plusieurs tomes, à l’instar de ces grandes sagas familiales que j’aime tant. Un roman qui m’a fait passé un merveilleux moment de lecture. Lire la chronique.
Les silences d’Ogliano d’Elena Piacentini
Les silences d’Ogliano nous emmène au coeur d’un petit village fictif du sud. Le narrateur, Libero Solimane, l’a quitté il y a longtemps, mais son retour va raviver les souvenirs d’un été qui a changé sa vie.
J’ai beaucoup aimé l’ambiance de ce roman, incroyablement immersive. J’ai aimé les belles histoires d’amour et d’amitié qui lient les différents personnages, les actes de bravoure et de faiblesse, mais aussi les thématiques abordées. Peut-t-on choisir sa vie, s’extirper d’un chemin qui semble tout tracé pour nous ? A-t-on vraiment le choix de nos actes et de nos décisions ?
Un roman porté par une très belle écriture, avec lequel j’ai passé un merveilleux moment de lecture. Lire la chronique.
Ce que je sais de toi d’Éric Chacour
Ce que je sais de toi nous emmène au Caire dans les années 1980, où nous allons faire la connaissance de Tarek, un jeune homme issu d’une famille de chrétiens levantins ayant émigré en Egypte. Devenu médecin, il a épousé Mira, un amour de jeunesse. Une vie bien établie, dans laquelle il semble s’épanouir pleinement. « Mais d’un geste, le chaos. Ce baiser échangé la veille. » Ce jour où l’amitié se mue en amour, jetant l’opprobre sur sa famille, le condamnant à la fuite, loin, sur un autre continent.
J’ai été séduite par la plume si délicate et si vivante d’Éric Chacour. J’ai aimé me balader au Caire, sentir toutes ces odeurs enivrantes, celles de l’ail, des épices ou du lait chaud. Une histoire qui parle de conditionnement, d’amour et d’exil avec une belle sensibilité. Lire la chronique.
Duel de Frank Leduc
Le point de départ de Duel concerne la mystérieuse disparition de deux cars transportant des enfants et leurs moniteurs vers une colonie de vacances à la neige. Soixante-six personnes disparues soudainement de la surface de la Terre, sans laisser la moindre trace. Jusqu’à l’appel du ravisseur, qui exige de négocier avec la brillante Talia Sorel, du Raid. Un duel s’engage alors, dont nul ne peut estimer l’issue d’avance.
C’est la première fois que je découvrais un roman de Frank Leduc et je dois dire qu’il m’a bluffée. J’ai adoré l’intrigue de ce roman, dont le duel sous tension m’a captivée jusqu’à la dernière page. Peu de thrillers arrivent à me surprendre, par leur originalité comme par leur dénouement, mais avec « Duel », Frank Leduc a coché toutes ces cases avec brio ! Lire la chronique.
Enigma d’Armelle Carbonel
Attention, si vous n’avez pas lu Sinestra, ce roman vous dévoile tout de même une partie de l’intrigue.
Barbara Blair et son équipe ont pour objectif de tourner un documentaire dans l’ancien orphelinat de Beaumont-la-Ronce, autrefois théâtre d’une terrible tragédie. Un lieu en lien avec un autre qu’ils ont bien connu, le Val Sinestra.
Armelle Carbonel n’a pas son pareil pour dépeindre l’atmosphère dans ses romans. À peine les membres de l’équipe pénètrent-ils dans le village que je me suis mise à frissonner, immergée dans l’histoire comme si j’y étais. Sans parler de l’ancien orphelinat, dont le passé trouble imprègne chaque pan de mur, chaque marche d’escalier, chaque fenêtre brisée. Les habitants eux-mêmes nous paraissent étranges, insaisissables, presque fantasmagoriques.
Si Enigma m’a moins fascinée que Sinestra, j’y ai toutefois retrouvé cette ambiance si particulière, à la fois malaisante et effrayante, que j’apprécie tant dans les romans d’Armelle Carbonel. Une intrigue composée de multiples pièces, mêlant superstition et réalité sordide, avec laquelle j’ai passé un très bon moment de lecture. Lire la chronique.
Seules les bêtes de Colin Niel
Seules les bêtes nous emmène au coeur du Massif central, dans une petite ville tout juste marquée par la disparition d’une randonneuse, là-haut, sur le plateau. Une disparition qui occupe davantage l’esprit de ceux d’en bas, parce que ceux d’en haut, sur le causse, ont bien d’autres choses à penser, comme Joseph, avec ses brebis à soigner, ses factures à payer et sa solitude à préserver.
J’ai commencé ce roman avec un grand sentiment d’exaltation, ravie de ce que je lisais, ou pensais lire, un roman rural tirant vers le noir, avec une petite intrigue en arrière-plan. Mais c’était sans compter sur l’immense talent de Colin Niel, capable de surfer sur les vagues de l’imagination, pour nous offrir un roman bien plus dense et plus complexe, qui a su me surprendre à bien des égards.
Une histoire en cinq actes qui m’a profondément émue. Tous ces fragments de vie mêlés, et puis cette misère et cette solitude qui déchirent le coeur. Je ne sais pas comment qualifier ce roman, ce qui est sûr, c’est qu’il est plein d’humanité. Lire la chronique.
Les sept soeurs, tome 2 : La soeur de la tempête de Lucinda Riley
Lucinda Riley n’a pas son pareil pour construire ses sagas familiales. Elle conjugue à merveille la grande Histoire et la petite, retranscrivant magistralement l’ambiance et les problématiques d’une époque, au point de rendre l’ensemble totalement immersif. Pour une fois, j’ai aimé les deux parties, celle du présent comme du passé, toutes deux liées par la même thématique, celle de la musique. Car « La musique, c’est l’amour qui cherche sa voix », c’est la renaissance du cœur.
La sœur de la tempête est un roman qui m’a emportée, autant pour son côté historique que pour l’extraordinaire destinée de tous ses personnages. Une lecture riche en émotions, où se côtoient amour, joie et tristesse, comme autant de reflets de vies aux multiples chemins. Une saga familiale dense et passionnante, que je ne manquerai pas de poursuivre avec la troisième soeur, Star. Lire la chronique.
Agatha Raisin, tome 14 : Gare aux fantômes de M.C. Beaton
Dans Gare aux fantômes, notre chère Mrs Raisin décide de venir en aide à Mrs Witherspoon, une « vieille teigne » parfaitement désagréable soit-dit en passant, qui entend des voix et observe des lueurs étranges, chez elle, la nuit. Accompagnée de Paul Chatterton, son informaticien de voisin – avec qui elle n’a aucune intention d’avoir une quelconque relation, merci bien ! – elle va commencer à mener sa petite enquête. Tout le monde, de son entourage à la police, semble convaincu que la vieille dame n’est qu’une affabulatrice désireuse d’attirer l’attention. Mais quand Mrs Witherspoon est retrouvée assassinée, les choses vont prendre une autre tournure.
Avec Gare aux fantômes, rien de nouveau sous le soleil, si ce n’est l’intrigue, que j’ai trouvé plutôt plaisante. Je ne sais pas pour vous, mais moi, quand je n’ai pas le moral ou quand je viens de terminer une lecture un peu difficile, j’aime bien me lancer dans mes séries cosy préférées. Et les enquêtes d’Agatha Raisin sont parfaites pour se changer les idées et passer un bon moment de lecture. Chronique à paraître prochainement. Lire la chronique.
Les yeux fermés d’Héloïse Martin
Il s’agit d’une histoire inspirée du vécu de la comédienne Héloïse Martin. J’ai été soufflée par la situation de cette jeune femme, qui, venue assister à l’anniversaire de mariage de ses grands-parents, se retrouve à passer ce moment en compagnie de l’homme qui l’a violée enfant.
Impossible pour moi de rester à distance, le malaise d’Émilie m’a prise aux tripes. Et toutes ces personnes qui font comme si de rien n’était alors que cet homme a été reconnu coupable par un tribunal des années auparavant !
Les yeux fermés aborde un sujet de société essentiel, avec beaucoup de pudeur, tant dans le graphisme que dans les souvenirs évoqués. Une BD qui nous pousse à nous interroger, et qui je l’espère contribuera à libérer la parole des trop nombreuses victimes d’inceste. Lire la chronique.
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Comme souvent, les romans d’Oliver Adam attirent mon attention. « Il ne se passe jamais rien ici » ne déroge pas à la règle. Et tu me rends curieuse avec « Duel » de Frank Leduc. Je viendrais lire ta chronique quand elle sera en ligne 😉
Je devrais publier la chronique de Duel la semaine prochaine. Je l’ai beaucoup aimé.
Beau bilan. De mon côté je n’ai écouté que le tome 1 de la série des sept soeurs et ça m’a amplement suffi ! Bonne soirée
Je comprends, je n’avais pas accroché non plus au premier. Cela dit, j’adore les sagas familiales, alors j’ai retenté avec le deuxième, et là, j’ai adoré l’histoire.
J’ai bien aimé Agatha et La saga des Sept soeurs (je dois continuer les deux, d’ailleurs…).
Joli bilan en tout cas !
Je viens justement de commencer un nouveau Agatha ! 😁 En ce moment, avec toutes ces chroniques à écrire, je n’ai plus trop le temps de lire, alors une petite enquête d’Agatha m’a semblé parfait !
Un très beau bilan ! Bravo !
J’ai passé de bons moments de lecture ! 😁
Quel beau bilan, bravo ! Je suis intéressée par Un enfant sans histoire(s) mais je suis curieuse de savoir à quel autre roman il t’a fait penser. 😉 Et je lirais ta chronique de Enigma avec grand plaisir, j’aime beaucoup la plume de Armelle Carbonel et celui-ci est dans ma pile à lire. Et je frissonne déjà à l’idée de retrouver le Val Sinestra et son ambiance si particulière. Il y a toujours de bonnes idées à piocher chez toi Caroline, merci pour ce partage 🙂
J’espère que tu vas lire Enigma bientôt, après, il ne m’a pas autant plu que Sinestra mais c’est tout de même un très bon roman. Pour te dire à quel livre Un enfant sans histoire(s) m’a fait penser, il faut d’abord que tu aies lu ces deux romans, sinon je risque de te mettre la puce à l’oreille et ça serait dommage. 😁
Aah il va falloir que je craque pour Un enfant sans histoire(s) alors pour avoir ma réponse 🤭
Bravo pour ce beau bilan et merci pour tous ces avis. Il faut vraiment que je lise Pachinko et j’ai hâte de lire ton avis sur Les silences d’Ogliano.
Merci Audrey ! Un chouette roman Les silences d’Ogliano, original.
Un beau panel de lectures diverses et variées dont certaines me tentent notamment le roman d’Olivier Adam qui a eu droit à 5 étoiles.
Merci pour ce bonheur qu’est chaque article de ton blog.
Merci Hedwige ! ☺️ Ah oui, le roman d’Olivier Adam m’a énormément plu !
J’ai beaucoup aime feux dans la plaine☺️le lecteur y est aussi pour beaucoup
Contente que tu aies apprécié ! Il m’a manqué quelque chose, mais je te rejoins, le lecteur est top !
Merci Caroline pour ce partage ! C’est très sympa ce genre d’article, j’aime beaucoup. J’ai lu quelques uns de ces romans, mais j’en découvre certains comme « L’or des rivières » de Françoise Chandernagor, une auteure que je ne connais pas. J’ai passé quelques étés de mon enfance dans la Creuse, alors il pourrait sûrement me plaire 😉
J’ai adoré L’or des rivières, mais comment chroniquer un tel livre ? Du coup, je ne l’ai pas fait, alors que pourtant, il m’a beaucoup marquée et surtout touchée. Je t’invite à lire l’avis de jeanfrancoislemoine sur Babelio, qui en parle merveilleusement bien. (Je vais rajouter le lien dans mon article).
Merci pour le lien, je vais de ce pas lire l’avis !