Mes lectures d’avril 2023

Je ne rédige pas toujours de chroniques pour chaque livre lu, mais grâce à cette page, j’ai dans l’idée, malgré tout, de partager brièvement avec vous mes avis de lecture « à chaud ». Quelques lignes, parfois quelques mots, mais qui peuvent s’avérer suffisants pour vous donner ou non l’envie de découvrir un ouvrage. Ce ne sont pas des bilans lecture, et ils ne sont pas non plus destinés à remplacer mes chroniques, que par ailleurs j’adore écrire.

Sommaire :

Livres

1. Douve (Hugo Boloren, tome 1) de Victor Guilbert, 298p
2. Tant que le café est encore chaud de Toshikazu Kawaguchi, 5h25min
3. Un jour, j’ai menti de Samira Sedira, 312p
4. Molosses (Walt Longmire, tome 6) de Craig Johnson, 336p
5. Les contemplées de Pauline Hillier, 184p
6. Beau thé fatal (Les thés meurtriers d’Oxford, tome 2) de H.Y. Hanna, 340p
7. A qui la faute de Ragnar Jónasson, 6h19min
8. Souviens-toi de Sarah de Page Comann, 418p
9. L’ombre qui parlait aux morts (Lockwood & Co, tome 4) de Jonathan Stroud, 544p.
10. The empty grave (Lockwood & Co, tome 5) de Jonathan Stroud, 560p
11. Sa préférée de Sarah Jollien-Fardel, 4h37min
12. Le puits de Marie Sexton, 268p
13. Toucher le noir, sous la direction d’Yvan Fauth, 336p
14. Les poupées (Victor Venturi & Olivia Montalvert, tome 1) d’Alexis Laipsker, 397p

Bds, romans graphiques

1. Maudit soit le fruit de ses entrailles… (Sambre, tome 5) d’Yslaire, 46p
2. La mer vue du purgatoire… (Sambre, tome 6) d’Yslaire, 64p
3. Fleur de pavé (Sambre, tome 7) d’Yslaire, 72p
4. Celle que mes yeux ne voient pas… (Sambre, tome 8) d’Yslaire, 72p
5. Les murailles invisibles d’Alex Chauvel et Ludovic Rio, 92p
6. Le temps est assassin de Frédéric Brémaud et Nathalie Berr, 120p
7. Scotland, tome 1 de Leo, Rodolph & Marchal, 48p
8. Scotland, tome 2 de Leo, Rodolph & Marchal, 48p
9. Cadres noirs, tome 1 de Pascal Bertho & Giuseppe Liotti, 72p

Livres

Douve (Hugo Boloren, tome 1) de Victor Guilbert (Thriller)

Mon avis : Le point fort de ce roman est sans conteste son atmosphère, éminemment glauque et malaisante. Un village qui m’a paru froid et silencieux, à quoi s’ajoute une sensation d’intemporalité et d’étrangeté, accentuée par les comportements singuliers des différents protagonistes. Des protagonistes qui paraissent unis envers et contre tout, comme dotés d’une seule et même voix. Un point paraît toutefois indiscutable, “on n’arrive pas à Douve par hasard”. Cela étant, une fois sur place, il semble difficile de quitter l’endroit, ce qui donne à ce récit des allures de huis-clos. Nous sommes indubitablement sous son emprise, dans l’antre de la folie et rien ne laisse présager qu’on en sortira indemne. J’ai été très agréablement surprise par ce roman, qui m’a captivée autant par son intrigue que par son ambiance. Lire la chronique.

Tant que le café est encore chaud de Toshikazu Kawaguchi, 5h25min (Contemporain)

Mon avis : Véritable légende à Tokyo, la particularité extraordinaire du Funiculi funicula attire de nombreuses personnes, désireuses, pour une raison ou une autre, de voyager dans le temps. Pour autant, peu d’entre elles ont réussi à vivre l’expérience. Il est rare que je succombe à une trop forte émotion en lisant un livre, au point de verser quelques larmes, mais je dois bien reconnaître que ces histoires ont eu raison de moi. Si ma lecture papier avait déjà été bouleversante, la version audio lue par Philippe Spiteri a complètement dépassé mes attentes, et je suis ressortie encore plus profondément touchée par ce beau roman. Tant que le café est encore chaud est un roman bouleversant qui nous plonge avec intelligence et sensibilité dans l’âme humaine.  Lire la chronique.

Un jour, j’ai menti de Samira Sedira (Contemporain)

Mon avis : Luce et Jeanne, deux cinéastes, partent à la rencontre de Nikki Delage, une avocate déchue, auparavant connue et glorifiée pour sa constance à défendre les plus pauvres et les exclus de la société. On l’admirait pour avoir gravi l’échelle sociale à la sueur de son front, on appréciait la force de ses convictions, on reconnaissait en elle les propos de celle qui sait. Jusqu’à ce jour où la vérité éclate. Nikki Delage n’est autre que la fille d’un riche industriel bordelais qui n’a jamais connu la misère ni le manque. Pour le peuple, le coup est rude, le choc engendre la colère. L’adulée devient paria.

En réalisant leur documentaire, Luce et Jeanne vont remonter le passé de Nikki,  lui donner la parole, s’imprégner de son environnement. A travers les différents témoignages, la personnalité de l’ancienne avocate se dessine plus précisément, et l’incompréhension d’origine laisse place à une empathie profonde. Je me suis interrogée à plusieurs reprises. Oui, elle a menti. Pour autant, ne pensait-elle pas ce qu’elle disait ?

J’ai trouvé ce roman vraiment très intéressant, notamment pour les questionnements qu’il soulève. Un livre qui m’a beaucoup émue. J’avais découvert Samira Sedira avec Des gens comme eux, que j’avais beaucoup apprécié. Cette seconde incursion dans le style de l’autrice est encore une réussite !

Molosses (Walt Longmire, tome 6) de Craig Johnson (Policier)

Mon avis : Bienvenue dans le comté d’Absaroka pour une nouvelle enquête de notre shérif préféré, Walt Longmire. L’histoire commence avec l’accident de voiture qui a failli coûter la vie au vieux Geo, le gardien de la déchetterie. Enfin, plutôt le gardien du « Site municipal de dépôt, tri et récupération des déchets ». Si, si, il y a une différence et Geo tient beaucoup à ce qu’on la respecte. Puis, par une succession d’évènements, vient ensuite l’histoire de ce pouce retrouvé dans ledit site municipal. Comment est-il arrivé là ? Mystère. À qui appartient-il ? Encore mystère. Et Longmire n’aime pas les mystères. Molosses est un méli-mélo de situations incongrues et de personnages hauts en couleur qui m’ont absolument ré-ga-lée. Comme toujours, l’humour est exquis, l’enquête brillamment menée et les protagonistes attachants. Je ne le dirais jamais assez, mais les enquêtes de Longmire c’est pour moi la crème de la crème. Lire la chronique.

Les contemplées de Pauline Hillier (Témoignage)

Mon avis : Arrêtée alors qu’elle manifestait à Tunis, l’autrice, française, nous raconte son mois d’emprisonnement dans le Pavillon D de La Manouba. Il y a une telle humanité dans ce récit, que j’aurais envie de le qualifier de beau. Un terme qui peut sembler inapproprié, pourtant, c’est bien ce que j’ai ressenti au cours de ma lecture. J’ai été profondément touchée par toutes ces femmes, par leur histoire, leur force, leur façon de s’entraider. Bien entendu, toutes ne sont pas des anges, mais qu’importe ! La façon dont elles ont été – sont – traitées par les hommes m’a mise dans une colère sourde. Je lisais parfois le coeur serré, la rage au fond des tripes, mais en même temps, j’étais sincèrement reconnaissante de les avoir rencontrées à travers cet ouvrage. Des femmes particulièrement attachantes et incroyablement lumineuses, compte tenu des circonstances. Les contemplées est un récit puissant, d’une grande sensibilité, qui m’a complètement conquise. Je vous conseille vivement de le découvrir !

Beau thé fatal (Les thés meurtriers d’Oxford, tome 2) de H.Y. Hanna (Cozy Mystery)

Mon avis : Lors du vernissage de son amie Cassie, Gemma assiste à la mort subite d’une semeuse de troubles. Les « vieilles chouettes », qui étaient également de la partie, en sont certaines, la détestable dame a été empoisonnée ! J’ai apprécié retrouver tous les protagonistes découverts dans le premier tome, notamment les commères du village, qui finalement s’avèrent bien plus sympathiques qu’il n’y paraît. Ces dernières vont jouer un rôle plus important et devenir rapidement indispensables, autant pour le salon de thé que pour la résolution de l’énigme. L’intrigue n’est pas des plus complexes à démêler mais j’ai néanmoins pris plaisir à la suivre. Les thés meurtriers d’Oxford est une série cozy mystery que j’apprécie beaucoup, notamment pour son décor, la région des Cotswolds, le style Tudor de ses bâtiments et sa très célèbre université d’Oxford.

À qui la faute de Ragnar Jónasson, 6h19min (Thriller)

Mon avis : Pour commencer, le synopsis de départ, bien qu’attrayant, ne m’a pas semblé très original. Des amis d’enfance se retrouvent pour un weekend, en plein coeur des montagnes islandaises, lorsqu’une tempête de neige imprévue les contraint à s’abriter dans un refuge. Ce qui devait être un séjour agréable va alors se transformer en un véritable cauchemar.

J’ai eu beaucoup de difficultés à croire en ces quatre personnages. Leurs réactions m’ont paru tellement théâtrales et inappropriées que cela m’a un peu gâché le plaisir de lecture. Le découpage des chapitres m’a fait penser à ces feuilletons télévisés, où la caméra s’arrête sur le zoom d’une scène, puis reprend sur cette même scène du point de vue d’un autre protagoniste. Un parti pris qui m’a souvent lassée, me donnant un sentiment de continuelle répétition et de lenteur exagérée. Par ailleurs, l’isolement des protagonistes, en pleine tempête de neige de surcroit, est généralement une matière idéale pour créer une ambiance en huis-clos et pour faire monter la pression. Pourtant, je n’ai absolument rien ressenti de tel dans cet ouvrage. Aucune inquiétude ni même aucune émotion particulière. L’ayant lu en version audio, j’ai d’abord pensé que cela était peut-être dû à l’interprétation du narrateur, et j’ai tenté un chapitre en version numérique pour voir. Mais force est de constater que Slimane Yefsah, que je connaissais déjà pour son excellente interprétation des Soeurs de Montmorts, offre une proposition parfaitement adaptée au texte. Je n’ai tout bonnement pas été convaincue par cette histoire. Lire la chronique.

Souviens-toi de Sarah de Page Comann (Polar)

En me rendant sur le site Internet de ma médiathèque numérique, je suis tombée sur ce roman de Page Comann. Quand j’ai compris que le nom de l’auteur était en réalité le pseudo de deux auteurs que j’adore, Ian Manook (Pasakukoo et Le cas Chakkamuk) et Gérard Coquet (Malfront ❤️), je n’ai pas hésité une seconde à me lancer dans cette lecture. Bien m’en a pris car je me suis régalée.

Mon avis : Diane, éditrice, reçoit un manuscrit anonyme qui ressemble fort à un témoignage. Touchée et émue par les mots de Sarah et ce qu’ils racontent, Diane se met en tête de découvrir la véritable identité de l’autrice. Aidée de ses collègues, elle va remonter les traces laissées par la narratrice dans ses « lettres ». Un jeu de piste qui la conduira sur des rives dangereuses, au point parfois de risquer sa vie. Alternant ainsi entre passé et présent, l’auteur nous plonge au coeur de la vie de Sarah dans les années soixante. Une vie loin d’être un long fleuve tranquille, souvent faite de douleurs et de violence, mais pas seulement. Certains passages m’ont remuée et j’avais envie de hurler contre ce destin qui s’acharne, contre l’infamie des hommes et l’hypocrisie de la société. Un roman bien rythmé et riche en péripéties qui m’aura captivée jusqu’à sa toute fin. Les émotions ressenties lors de ma lecture ont été particulièrement intenses et nul doute que l’empreinte de Sarah restera gravée longtemps dans ma mémoire.

L’ombre qui parlait aux morts (Lockwood & Co, tome 4) de Jonathan Stroud (Fantastique jeunesse)

Il y a quelques mois, je vous parlais de mon affection particulière pour cette série fantastique anglaise (Voir ma chronique du tome 3). En ce mois d’avril, j’avais pour objectif de la terminer, et ce même si le tout dernier tome n’a pas encore été traduit en français. Ce qui est incroyable avec cette série, c’est que jamais elle ne s’essouffle et que chaque livre est intense et passionnant.

Mon avis : Lucy, qui a quitté Lockwood & Co, travaille désormais à son compte pour toutes les agences qui font appel à ses services. Toutefois, à la demande de Lockwood et surtout de Penelope Fittes, elle va faire de nouveau équipe avec ses anciens camarades.

Dans ce roman, l’action demeure au rendez-vous et les chasses aux fantômes sont toujours aussi effrayantes. L’esprit de ce cannibale, qui se manifeste essentiellement par l’ouïe, m’a donné bien des sueurs froides. Sans parler de ce village très spécial, quasi fantomatique c’est le cas de le dire, ou encore des voies de l’ancien métro, qui donnent au roman des accents plus sombres.

Cela dit, ce quatrième tome met aussi davantage en avant l’intrigue autour du Problème. On découvre des informations sur les parents d’Anthony ainsi que sur le rôle des objets qu’ils conservaient précieusement. Objets qui vont s’avérer fort utiles pour nos amis.

Les forces en puissance se révèlent enfin et des alliances se créent, obligeant les uns comme les autres à choisir leur camp. On ressent davantage de tension dans l’air, ce qui rend certaines scènes d’autant plus angoissantes.

Un quatrième tome toujours aussi passionnant, qui annonce un final grandiose.

The empty grave (Lockwood & Co, tome 5) de Jonathan Stroud (Fantastique jeunesse)

Comme je le disais précédemment, je n’ai pas pu attendre la traduction de ce dernier tome et c’est donc en VO que j’ai terminé cette excellente série fantastique.

Mon avis : Dès les premières lignes, l’auteur nous dévoile l’issue de la bataille. Nous sommes « après » les fameux évènements et pour en connaître les détails épiques, il va falloir écouter le récit de Lucy. Comme toujours, l’histoire débute dans le feu de l’action. L’équipe de Lockwood travaille à retrouver le cercueil de Marissa Fittes. Et ce qu’ils vont découvrir en pénétrant dans son mausolée viendra confirmer leurs plus terribles soupçons.

Bien qu’il s’agisse du dernier tome, l’auteur nous offre tout de même de belles chasses aux fantômes en parallèle de l’intrigue, notamment avec l’esprit très puissant de la « Belle Dame Sans Merci » qui sévit dans le Palace Theatre. Prenez garde chers amis, la sanglante dame est sans pitié, aussi ne vous laissez pas berner par sa beauté légendaire.

Le « Crâne » est toujours de la partie et ses interventions sarcastiques contribuent à désamorcer la tension, parfois très présente. J’apprécie beaucoup ce personnage et la relation privilégiée qu’il entretient avec Lucy. Ses motivations, autrefois malicieuses, semblent aujourd’hui plus louables, même s’il le nie avec conviction. Aurait-il enfin trouvé sa place au sein de Lockwood & Co ? L’avenir nous le dira.

Un ultime tome à la fois passionnant, effrayant et émouvant, qui se conclut par un final en apothéose, très réussi. Un final aussi bon que ce à quoi je m’attendais, même si je suis attristée à l’idée de ne plus revoir tous les personnages. J’espère que les éditions Albin Michel finiront par proposer une traduction de ce dernier tome. Cela dit, les livres ayant été récemment adaptés en série par Netflix, j’ai bon espoir que cela soit le cas.

Sa préférée de Sarah Jollien-Fardel (Contemporain)

“Sa préférée” est un roman particulièrement éprouvant à lire. Il a ces mots forts et cette plume acérée, cette violence et cette haine qui transparaissent à chaque page. Des sentiments décuplés dans la version audio, où Lola Naymark laisse libre cours à son interprétation, avec une acuité saisissante.
Mais ce qui m’a attristée, ce n’est pas seulement cette enfance faite de violence, mais aussi cet implacable désespoir. Cette sensation que la vie tente de se frayer un chemin, avec tout l’amour et la beauté qu’elle aurait à offrir, mais que la noirceur a tout envahi, empêchant toute forme de renaissance. C’est triste, c’est dur, c’est terriblement tragique.
Lola Naymark, la narratrice m’a subjuguée. Chaque mot qu’elle prononce, chaque scène qu’elle raconte nous percute de plein fouet, jusqu’à nous meurtrir. Une lecture audio comme une seconde peau, pour un roman âpre et poignant qui m’a bouleversée. Lire la chronique.

Le puits de Marie Sexton (Thriller)

Mon avis : Influencés par l’une d’entre eux, six adolescents décident de passer la nuit dans une maison réputée hantée. En effet, vingt ans auparavant, Cassie Kennedy y aurait été étranglée par son petit-ami, le soir du bal de fin d’année. Alors qui sait, peut-être son fantôme aura-t-il des choses à leur apprendre. Mais le lendemain au réveil, Elise, l’instigatrice, manque à l’appel. Douze ans plus tard, Pierce et Jordan, les jumeaux du groupe, devenus chasseurs de fantômes pour une émission de télé-réalité à succès, décident de revenir sur les lieux afin de reconstituer les évènements de cette nuit dramatique. Qu’est-il arrivé à Elise cette nuit-là ?

Le retour des jumeaux, ainsi que celui d’Haven, le cousin d’Elise devenu écrivain, n’est pas vu d’un très bon oeil par certains habitants, d’autant que la présence des caméras n’invitent guère à la confiance.

Contrairement à ce que j’aurais pu croire au premier abord, ma lecture n’a pas été dénuée d’émotions et je me suis même attachée aux protagonistes. L’intrigue est classique, avec une alternance passé/présent, mais elle est néanmoins captivante à suivre et bien rythmée. J’ai apprécié plonger dans le passé, même plus lointain, et me fondre dans la peau des personnages. Mais tout amateur de thriller sait bien qu’il ne faut jamais remuer le passé, sous peine de raviver le Mal…

J’ai été agréablement surprise par ce roman, et les quelques touches de paranormal qui imprègnent le récit n’ont pas été pour me déplaire. En conclusion, un thriller addictif qui m’aura fait passer un agréable moment de lecture.

Toucher le noir, sous la direction d’Yvan Fauth (Nouvelles)

Les poupées (Victor Venturi & Olivia Montalvert, tome 1) d’Alexis Laipsker (Policier)

Bds et romans graphiques

Saga Sambre d’Yslaire, tome 5 à 8 (Bd Historique, Fantastique)

• T05. Maudit soit le fruit de ses entrailles…
• T06. La mer vue du purgatoire…
• T07. Fleur de pavé
• T08. Celle que mes yeux ne voient pas…

Les murailles invisibles d’Alex Chauvel et Ludovic Rio (BD, SF)

Le temps est assassin de Frédéric Brémaud et Nathalie Berr (BD, Thriller)

Série Scotland, tome 1 et 2 de Leo, Rodolph & Marchal (BD, Fantastique)

Cadres noirs, tome 1 de Pascal Bertho & Giuseppe Liotti (BD, Thriller)