Genre littéraire – Roman noir
« Seules les bêtes » nous emmène au coeur du Massif central, dans une petite ville tout juste marquée par la disparition d’une randonneuse, là-haut, sur le plateau. Une disparition qui occupe davantage l’esprit de ceux d’en bas, parce que ceux d’en haut, sur le causse, ont bien d’autres choses à penser.
La vie d'une famille va se retrouver chamboulée par l'arrivée de Volodya, l'ami imaginaire de Vadim, l'aîné de la fratrie. Un ami qui va devenir véritablement envahissant, angoissant même, au point que les parents, au fil des mois, ne vont plus reconnaître leur fils, si posé et si gentil d'ordinaire.
Une jeune femme est retrouvée morte, dans un village au bord du lac d’Annecy. Un événement tragique qui vient chambouler toutes ces existences bien huilées et faire voler en éclats la tranquillité de façade de cette petite bourgade. Il n'y aura désormais plus personne pour oser dire que « il ne se passe jamais rien ici ».
L'histoire se déroule à Boston en 1974, lors d’un été au contexte historique particulier, où la colère gronde sous la chaleur étouffante.
Ce thriller aux accents de roman noir avait tout pour me plaire. Les premiers chapitres, j’ai cru trouver ce que j’étais venu chercher, une sensation d’ancrage au monde, à la vraie vie, avec un protagoniste devenu “ours” par la force des choses, en recherche de solitude et de sobriété.
Bordeaux, ses vieilles pierres, son miroir d'eau et ses musées. Ah non, ce n'est pas ce Bordeaux que choisit de nous dépeindre Hervé Le Corre, mais plutôt une ville marquée par le froid et la grisaille, la violence et la misère. Décor idéal pour plonger tête la première dans la noirceur du monde, et dans une enquête sordide où des femmes sont retrouvées sauvagement assassinées par un tueur insaisissable. Un roman à trois faces, celle de Jourdan, de Louise et de Christian.
Dans un petit hameau de campagne quasiment désert, la famille Bergogne, composée de Patrice, Marion et Ida, ainsi que leur voisine Christine et son chien, mènent une existence des plus ordinaires. Jusqu’à ce jour où des individus louches viennent rôder dans les parages. Ce jour où tout va basculer.