Nationalité – Littérature australienne
La mer de la tranquillité est un roman choral qui nous offre le point de vue de quatre protagonistes à travers quatre temporalités différentes, chacun d'entre eux étant relié par un même phénomène, la mélodie d'une berceuse jouée au violon, suivie d'un bruit étrange et sourd.
Anne Shirley, une jeune et pétillante orpheline de onze ans, se retrouve à vivre chez Matthew et Marilla Cuthbert, à Green Gables. Les deux frères et sœurs attendaient la venue d’un garçon, capable de leur apporter son aide à la ferme. Au lieu de quoi, une tornade rousse, au cœur débordant d’amour, est venue bouleverser leur existence.
Jane Neal, soixante-seize ans, est retrouvée morte dans les bois, près du village de Three Pines. Seulement voilà, son décès n’est pas vraiment naturel. Comme souvent dans les petits villages, les habitants se connaissent tous plus ou moins, et la victime était particulièrement appréciée.
Une voisine encombrante de Shari Lapena
A Aylesford, dans la banlieue New-Yorkaise, c’est comme dans un petit village. Tout le monde se connaît, tout le monde s’apprécie, ou presque. On se reçoit les uns les autres, on fait partie du club de lecture, on converse gaiement par-dessus la clôture. Mais ça, c’est seulement en apparence. Car en réalité, tout le monde a ses petits secrets, et il suffit parfois d’un élément perturbateur pour faire voler en éclats la plus paisible des communautés.
Nous sommes dans les années 60, en pleine période estivale, près du lac de Boundary Pound, à la frontière du Maine et du Québec.
Zaza et Sissy sont deux jeunes filles inséparables, quasiment indissociables, à la beauté insolente, « des jumelles, aurait-on dit, l’une rousse et l’autre blonde ».