Genre littéraire – Contemporain
Ce roman nous plonge dans un huis clos au fond d’un puits entouré par une forêt. Deux frères, le Grand et le Petit, s’y trouvent coincés depuis peu. On ne connaît pas leur histoire, qui ils sont, ni comment ils sont tombés dedans, mais on va les suivre dans leur survie.
Les silences d'Ogliano nous emmène au coeur d'un petit village fictif du sud. Le narrateur, Libero Solimane, l’a quitté il y a longtemps, mais son retour va raviver les souvenirs d’un été qui a changé sa vie.
« Ce que je sais de toi » nous emmène au Caire dans les années 1980, où nous allons faire la connaissance de Tarek, un jeune homme issu d'une famille de chrétiens levantins ayant émigré en Egypte. Devenu médecin, il a une vie bien établie, dans laquelle il semble s'épanouir pleinement. « Mais d’un geste, le chaos. »
Dès les premiers mots, l’histoire m’a emportée dans son sillage. L’obscurité, l’enfant qui crie, la mère impuissante, et la marche vers le rucher sacré, pour tenter d’apaiser les maux. On ressent toute la puissance de cette scène, l’angoisse maternelle, la douleur de l'enfant.
Au premier abord, il s'agit d'une histoire classique. Une famille de la région parisienne est venue passer les vacances d'été dans la maison de la grand-mère paternelle, au Pays-basque. Au premier abord seulement. Car dès les premières lignes, sur le trajet qui les mène à destination, le mal-être de Phoebe nous percute de plein fouet.
Suite au décès de sa sœur Émilie et de son mari, Morgane recueille son neveu Eliott, 10 ans, et sa nièce Léa, 6 ans. Une situation qui va bouleverser son existence, elle qui à 35 ans vit seule avec son chien Snoopy.
lors que le narrateur revient sur l'île de Ré, où il avait pour habitude de venir en vacances lorsqu'il était adolescent, il croise une silhouette qui lui semble connue. Il se souvient alors de cet été 1985, des derniers jours d’insouciance avant de basculer dans l’âge adulte, par la force du destin.
L'histoire se déroule à East Oakland en Californie, où Kiara, la narratrice de 17 ans, vit seule avec son frère Marcus. Pour faire face à la hausse du loyer et éviter l'expulsion, la jeune fille se retrouve malgré elle à vendre son corps pour de l'argent, arpentant la nuit et ses dangers.
Alexandre élève des vaches aux Bertranges tandis que ses parents cultivent désormais des légumes. Le vivant et la nature sont au centre de leurs préoccupations, rythment leur quotidien. Mais, leur relative tranquillité va se trouver bouleversée par la venue des sœurs d'Alexandre et de leurs familles, en plein confinement.
Ce roman nous emmène à la rencontre d'Abigaëlle, une jeune femme qui s'est retirée dans un couvent en Bourgogne, il y a quelques années déjà. Rapidement, on comprend qu'elle est ici suite à un évènement traumatique que son esprit a oublié, ou peut-être enfoui. Depuis, elle doit vivre avec ses trous de mémoire.
Mon acrobate, c'est l'histoire de l'après. De la vie après la tragédie. De la survie après que notre cœur nous a été arraché. Comment fait-on pour vivre lorsqu'on a perdu la chair de sa chair ? Cette question, Izia et Étienne y sont confrontés de plein fouet, sans préavis, dans toute sa réalité déchirante, injuste et intolérable.
Alors qu’elle fait ses devoirs, Mona, dix ans, se retrouve subitement atteinte de cécité. soixante-trois minutes de noir et d’angoisse, que ne parviendront pas totalement à apaiser les résultats d’examens du médecin, inapte à fournir une explication quant à cet évènement.
Ce roman, c'est le récit des derniers jours de Rabbit Hayes, atteinte d'un cancer généralisé. Dès le départ, nous apprenons que la jeune mère est en rechute d'un cancer du sein et qu'elle vient d'entrer dans un centre de soins palliatifs. Tout comme son entourage, on doit accepter cette douloureuse nouvelle.
Le poids des secrets est une série de cinq courts romans chorals dont les titres rappellent tous une anecdote à propos des protagonistes : Tsubaki (camélia), Hamaguri (coquillage), Tsubame (hirondelle), Wasurenagusa (myosotis) et Hotaru (lucioles). Chacun d'eux nous plonge au cœur d'une même histoire mais selon un point de vue différent, avec toujours pour fil conducteur Yukiko et Yukio, deux protagonistes emblématiques de ce récit.
Paul et Ana sont sur le point de se marier. Pour la cérémonie, cette dernière convie Joseph, un ancien ami d'enfance de son futur époux, pensant lui faire une merveilleuse surprise. Mais la venue de Joseph va provoquer chez Paul un grand bouleversement émotionnel, faisant resurgir une multitude de souvenirs enfouis.
Marie, la quarantaine, est mariée à Rodolphe, avec lequel elle a deux grandes filles adolescentes. Ses journées sont marquées par la routine d'un quotidien monotone, tandis que son mari occupe son temps entre son travail et ses maîtresses. Lasse de cette vie et de cette solitude, Marie décide de tout plaquer le jour de l'anniversaire de Rodolphe, laissant derrière elle une simple lettre.
Dans ce roman, nous allons suivre Agathe et Emma, deux sœurs qui se retrouvent pour vider la maison de leur grand-mère, suite à son décès. Une maison de vacances pleine de souvenirs évocateurs, douloureux ou chaleureux, et témoin d’une complicité perdue qui ne demande qu’à renaître.
Ce roman nous plonge au cœur d’une petite ville de l’Ohio, qui va recevoir la visite du diable, suite à une invitation émise dans le journal local par le procureur Autopsy Bliss. En ce début d’été 1984, le diable s’est présenté sous l’apparence d’un jeune garçon à la peau noire, d’environ treize ans, et prénommé Sal.
Juliette est une jeune femme qui vit de manière assez simple, dans une “petite longère nichée dans la verdure, près de la forêt d’Orient”. Son quotidien est rythmé par son travail de femme de ménage pour différents employeurs. Très vite, nous comprenons que sa situation actuelle résulte d’un évènement passé, que nous soupçonnons tragique.
Dans ce roman, Jeanne, la narratrice, nous raconte son enfance marquée par la violence paternelle, puis sa construction en tant qu’adulte, avec ce lourd bagage dans son sillage. Dès la première phrase, l’autrice donne le ton et ne laisse aucune place au doute quant à ce qu’elle s’apprête à nous raconter. Autant vous dire que si vous pensez pouvoir lire ce roman sans vous investir émotionnellement, cela risque d’être compliqué.