Toutes les chroniques que j’ai écrites depuis la création du blog.
Coup de cœur ❤️
« Les promesses orphelines » nous emmène au beau milieu des Trente Glorieuses, à la rencontre de Gino et de sa famille. Le petit Gino, je l’ai chéri dès les premières minutes et sans condition.
« Vers ma fin » est un roman qui m’a malmenée. Dès le départ, je me suis sentie oppressée par les mots de la narratrice, Aoileann, qui raconte, sans aucune délicatesse et avec une aversion évidente, ses heures passées à s’occuper de la « chose du lit ». La « chose du lit », c’est sa mère.
Chronique coup de cœur. ❤️
L’Autre était violent, physiquement et psychologiquement. Il faisait vivre un enfer à son fils et à sa femme. Alors, à 17 ans, le fils de l’Autre a demandé son émancipation. Et il est parti, avec son baluchon et 100 francs en poche. 100 francs durement économisés par la mère, à la barbe de l’Autre.
Un jour comme un autre sur la Terre, ou presque. En pleine tempête de neige, un petit village situé à la frontière franco-italienne va sombrer dans le chaos et la tourmente.
La menteuse, c’est Sloane. Elle ment tout le temps, tous les jours, à tout le monde, aussi naturellement que si elle disait la vérité. Jusqu’au jour où elle fait connaissance avec un père et sa fille dans le parc, et prétend être une infirmière du nom de Caitlin.
Vienne, 1902. Chung Ling Soo, « le merveilleux magicien chinois », et ses assistants se préparent dans le cabinet des illusions pour leurs prochaines représentations. De véritables mises en scène, millimétrées à la perfection, faisant de ses spectacles les plus fascinants de son époque. Jusqu’au jour où le magicien et son équipe se retrouvent au cœur de la tourmente.
Les parents d’Olivia et Caitlin, treize et dix ans, les ont laissées seules pour quelques heures. Mais, à leur retour dans la nuit, leur fille aînée a disparu et leur fille cadette est prostrée dans son lit. Seize ans après l’enlèvement, une jeune femme prétendant être Olivia se présente à la porte de la famille Arden.
S’inspirant du fameux rapport Meadows, Abel Quentin imagine une histoire autour de quatre chercheurs, et donne vie à ces personnages fictifs, le couple d’américains Mildred et Eugene Dundee, le norvégien Johannes Gudsonn et le français Paul Quérillot. Il va retracer les cinquante années de leur existence depuis la publication de leur rapport, où tous ont pris une trajectoire différente, profondément « ébranlés par les conclusions de leurs travaux ».
En 1846, aux États-Unis, une expédition composée de plusieurs familles de pionniers, menée par Donner et Reed, s’apprête à traverser le pays pour rejoindre la Californie. Un long et fatigant périple, qui les incite à changer d’itinéraire en cours de route, pour un autre réputé plus court mais aussi plus périlleux. Un itinéraire qui va les engager au coeur d’une contrée inexplorée, dont tous ne sortiront pas indemnes.
L’intrigue de Salem se déroule dans les années soixante-dix. Ben Mears, un écrivain en manque d’inspiration, revient à Jerusalem's Lot, une ville du Maine où il a vécu quatre ans lorsqu’il était enfant.
Lara, la narratrice, intègre pour quelque temps l’équipe d’un service d’addictologie spécialisé dans les problèmes d’addiction aux écrans. Elle y rencontre plusieurs jeunes patient·es, découvre leur histoire et les conséquences de cette addiction sur leur personnalité, leur vie. Des consultations qui vont la replonger dans les souvenirs de ses propres démons, ses propres addictions, différentes, mais tout aussi dévastatrices.
Depuis le décès de son fiancé Hadrien et de ses amis dans un accident de voiture, Fanny vit dans un état second, un noeud lui enserrant le coeur. Alors, dans un dernier espoir, elle décide de partir quelque temps au Canada. « Pour lui. Pour accomplir son rêve à lui. Pour vivre, un peu, de ce qu’ils auraient dû vivre. »
« Nulle part où revenir » nous emmène dans le sud des États-Unis, où nous allons principalement suivre Will Seems, shérif adjoint du comté d’Euphoria. Après plusieurs années passées à Richmond, ce dernier est revenu vivre dans sa petite ville natale.
« Soeurs » nous emmène sur les traces de deux affaires criminelles, l’une ayant eu lieu dans les années quatre-vingt-dix, l’autre de nos jours. Une double temporalité, avec quasiment les mêmes protagonistes en scène, Martin Servaz et Erik Lang, un écrivain de polars névrosé et mégalo.
Le corps sans vie d'une jeune femme est retrouvé près d'une usine désaffectée de Split. Un crime sordide, d'une violence rare, qui va venir bouleverser la vie des trois personnages principaux de ce roman.
Rob, une jeune femme marquée par une enfance particulière, tente de mener une vie normale, auprès de ses filles Callie et Annie, et de son mari Irving. Mais très vite, la jolie petite famille qu'elle a fondée nous apparaît comme dysfonctionnelle.
Rebecca Sheridan est une jeune londonienne étudiante en égyptologie, qui se passionne pour la période de la Régence anglaise. Un jour qu’elle assiste à une reconstitution historique organisée par la Regency Society, dans la plus ancienne librairie de Londres, elle se retrouve étrangement propulsée en 1816, Converse aux pieds, sous l’identité de lady Rebecca.
Mathieu, Paul et Chloé vivent dans une ferme un peu à l’écart du monde, dans une petite commune des Hautes-Pyrénées. Un choix de vie minutieusement réfléchi. Une vie modeste, réduite à l’essentiel, chasser son gibier, cultiver ses légumes, fendre son bois, etc. Jusqu’à ce que la réalité les rattrape.
Alors qu’ils passent leurs premiers jours de vacances dans le camping du lac aux Sables, le séjour d’une petite famille va tourner au cauchemar.
Une femme a été retrouvée morte dans le confessionnal d’une église, le corps nu et rasé, sept papillons sphinx vivants sur son crâne. Autant dire que cette nouvelle affaire promet d’être légèrement glauque.