Nationalité – Littérature française
J'avais déjà évoqué "La disparition de Veronika Lake "dans mon bilan de décembre 2024. J'en profite pour parler également du tome 2, que j'ai terminé il y a peu et que j'ai également beaucoup aimé. Une série qui méritait bien que je lui consacre une publication.
𝐋𝐞𝐜𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐬𝐞𝐩𝐭𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞
Kiela, une jeune femme employée à la Grande bibliothèque d'Alyssium, se trouve obligée de fuir les lieux en catastrophe suite à un incendie provoqué par la révolution en marche. Malgré la panique et le chaos ambiant, elle réussit à emporter avec elle sa plante-araignée Caz et quelques livres de sortilèges, avant de se réfugier sur l'île de Caltrey, dans le cottage où elle a grandi avec ses parents.
Coup de coeur ❤️
« Les promesses orphelines » nous emmène au beau milieu des Trente Glorieuses, à la rencontre de Gino et de sa famille. Le petit Gino, je l’ai chéri dès les premières minutes et sans condition.
Chronique coup de coeur. ❤️
L’Autre était violent, physiquement et psychologiquement. Il faisait vivre un enfer à son fils et à sa femme. Alors, à 17 ans, le fils de l’Autre a demandé son émancipation. Et il est parti, avec son baluchon et 100 francs en poche. 100 francs durement économisés par la mère, à la barbe de l’Autre.
Un jour comme un autre sur la Terre, ou presque. En pleine tempête de neige, un petit village situé à la frontière franco-italienne va sombrer dans le chaos et la tourmente.
Vienne, 1902. Chung Ling Soo, « le merveilleux magicien chinois », et ses assistants se préparent dans le cabinet des illusions pour leurs prochaines représentations. De véritables mises en scène, millimétrées à la perfection, faisant de ses spectacles les plus fascinants de son époque. Jusqu’au jour où le magicien et son équipe se retrouvent au cœur de la tourmente.
S’inspirant du fameux rapport Meadows, Abel Quentin imagine une histoire autour de quatre chercheurs, et donne vie à ces personnages fictifs, le couple d’américains Mildred et Eugene Dundee, le norvégien Johannes Gudsonn et le français Paul Quérillot. Il va retracer les cinquante années de leur existence depuis la publication de leur rapport, où tous ont pris une trajectoire différente, profondément « ébranlés par les conclusions de leurs travaux ».
𝐋𝐞𝐜𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐬𝐞𝐩𝐭𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞
Ce n’est pas un roman, mais plutôt une compilation de chroniques, à travers lesquelles l’autrice nous parle de New-York, de ce qu’elle aime dans cette ville qui fourmille de vie.
𝐋𝐞𝐜𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐬𝐞𝐩𝐭𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞
« Haute-Folie », c’est le genre de récit que j’aime beaucoup, imprégné de mélancolie et de silences pesants. Les silences des tragédies passées, des actes que l’on tait, des hontes que l’on cache.
𝐋𝐞𝐜𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐬𝐞𝐩𝐭𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞 - Coup de coeur ❤️ - Quelle merveilleuse découverte que ce roman ! Je l’ai trouvé plein de poésie et de délicatesse. J’ai aimé découvrir tous les protagonistes de cette histoire, tous liés à l’orchestre d’harmonie d’un petit village.
𝐋𝐞𝐜𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐬𝐞𝐩𝐭𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞
Je connaissais déjà la plume de Céline pour l’avoir découverte dans « Le châtiment du sang », un policier que j’avais beaucoup aimé. « Homéostasie » est un roman d’un tout autre genre, et c’est bien simple, il m’a régalée de la première à la dernière ligne.
Lara, la narratrice, intègre pour quelque temps l’équipe d’un service d’addictologie spécialisé dans les problèmes d’addiction aux écrans. Elle y rencontre plusieurs jeunes patient·es, découvre leur histoire et les conséquences de cette addiction sur leur personnalité, leur vie. Des consultations qui vont la replonger dans les souvenirs de ses propres démons, ses propres addictions, différentes, mais tout aussi dévastatrices.
Depuis le décès de son fiancé Hadrien et de ses amis dans un accident de voiture, Fanny vit dans un état second, un noeud lui enserrant le coeur. Alors, dans un dernier espoir, elle décide de partir quelque temps au Canada. « Pour lui. Pour accomplir son rêve à lui. Pour vivre, un peu, de ce qu’ils auraient dû vivre. »
« Soeurs » nous emmène sur les traces de deux affaires criminelles, l’une ayant eu lieu dans les années quatre-vingt-dix, l’autre de nos jours. Une double temporalité, avec quasiment les mêmes protagonistes en scène, Martin Servaz et Erik Lang, un écrivain de polars névrosé et mégalo.
Mathieu, Paul et Chloé vivent dans une ferme un peu à l’écart du monde, dans une petite commune des Hautes-Pyrénées. Un choix de vie minutieusement réfléchi. Une vie modeste, réduite à l’essentiel, chasser son gibier, cultiver ses légumes, fendre son bois, etc. Jusqu’à ce que la réalité les rattrape.
Une femme a été retrouvée morte dans le confessionnal d’une église, le corps nu et rasé, sept papillons sphinx vivants sur son crâne. Autant dire que cette nouvelle affaire promet d’être légèrement glauque.
L'histoire se déroule aux débuts des années soixante, aux États-Unis, où Dina, agent secret du Mossad, doit infiltrer le quartier résidentiel des fleurons de la NASA, dans le but de débusquer un criminel nazi. Cette mission, elle y tient beaucoup et elle est bien décidée à la voir aboutir, quoi qu'il en coûte.
À la fin du XIXe siècle, Emily, une jeune orpheline, quitte son Écosse natale pour la Patagonie, afin d’assurer le rôle de gouvernante dans la famille du révérend Bentley. Alors qu’elle découvre la population autochtone et ses coutumes, elle tombe amoureuse d’Aneki, un indien issu d’une tribu Yamana, qu’elle souhaite épouser.
Au coeur de ce récit, Léonie, 23 ans, tout juste diplômée d’un master en cinéma. Leo la drama-queen. Jamais surnom ne m’aura semblé plus adéquat ! Leo, elle imaginait qu’après son diplôme elle trouverait du boulot presque en un claquement de doigt. Seulement voilà, la vie, c’est pas si simple.
Son bac en poche, Emmylou se fait embaucher comme fille au pair dans une riche famille londonienne, dans le but d’améliorer son anglais et de donner une chance de plus à son concours d’entrée en école de journalisme. Mais une fois sur place, tout ne sera pas aussi idyllique qu’elle l’imaginait. Il semble que cette famille, en apparence idéale, cache bien des secrets.