Nationalité – Littérature française
Calypso, une actrice quinquagénaire qui traverse une mauvaise passe, est revenue il y a peu sur le Rocher dans l’espoir de se requinquer et de prendre un nouveau départ. Logée gracieusement dans un appartement de sa richissime vieille tante, elle accepte, en contrepartie, de tenir la boutique d’antiquités de cette dernière. Mais un jour, elle trouve le cadavre d’un homme dans la cave.
Nous sommes en 2224, dans un monde qui s’est reconstruit suite au Grand Effondrement de 2050. Au départ, il y a un côté presque grisant à découvrir ce monde futuriste et le mode de vie de ses habitants.
Deux jeunes amoureux dans une Mercedes 200D rutilante, installés près d’un lac nimbé de brume. Quand soudain, surgissant de cette nappe de brouillard à l’aspect fantomatique, un homme armé d’un marteau. Je vous laisse deviner le sort atroce qui attend notre couple d’amants, préférant vous épargner les images « façon puzzle » qui me sont venues à l’esprit.
L’intrigue se déroule un peu avant la fin de la Première Guerre mondiale, dans un petit village de Bourgogne, où un homme est retrouvé mort dans une cave, la langue coupée. Thomas Sorel, TS pour les intimes, n’était pas apprécié de grand monde, à commencer par sa femme Jeanne.
Depuis le suicide pour le moins étrange de leur camarade de classe, des adolescents s’avèrent irrésistiblement attirés par une maison abandonnée de leur lotissement. D'autant plus quand la soeur de ce dernier prétend que son frère était obsédé par elle, et qu’elle l’a rendu fou.
Coup de coeur ❤️ Suite au décès de son père, Yann de Kérambrun, un presque cinquantenaire à bout de souffle, décide de quitter son poste de professeur d’histoire à la Sorbonne pour retourner dans la maison familiale, face à Cézembre, une petite île de la baie de Saint-Malo.
« Tant de cochons » est un roman policier qui tire son épingle du jeu par une certaine originalité dans la verve, par son panel de protagonistes, mais aussi par son propos sur l’environnement. Le moins que l’on puisse dire, c’est que ce roman m’a surprise, par son ton, son écriture très visuelle, souvent crue, et ses personnages atypiques.
S’inspirant d’un célèbre tableau de Klimt tour à tour repeint, volé, puis restitué, Camille de Peretti a imaginé une histoire autour de la mystérieuse jeune femme représentée sur cette toile. Une histoire familiale qui va traverser tout le XXe siècle, de l’Europe aux États-Unis, et que nous allons découvrir grâce à trois personnages.
En vidant l’appartement qu’occupait son père récemment décédé, Vanessa Springora va tomber sur des photographies de son grand-père qui vont ébranler toutes ses fondations. Dès lors, elle se plonge dans une quête éperdue d’identité, à commencer par celle de son nom de famille. Une (en)quête qui la conduira à exhumer le passé, à la recherche de la vérité.
Alice a quatorze ans lorsqu’elle est internée dans un hôpital pour anorexie. Elle a quatorze ans et ne comprend pas ce qui lui arrive. Elle a quatorze ans et « en quelques minutes, [elle est] devenue malade. »
« Tata », ça raconte Colette, mais aussi Agnès et tous les autres. Colette, c’est cette tante qui est « remorte », alors qu’on l’a bel et bien enterrée trois ans plus tôt dans sa ville natale de Bourgogne. D’où l’étonnement d’Agnès, sa nièce, lorsqu’elle reçoit un appel de la gendarmerie pour lui annoncer (encore) la mort de Colette.
Dans ce troisième tome, le docteur Simon Bloomberg se trouve confronté au démon de la violence. D’abord, il y a cet homme qui vient lui confier ses accès de brutalité envers son épouse et sollicite son aide pour le “guérir”. Puis, il y a cette jeune femme, victime de violence conjugale.
Sur un chemin de campagne, le cadavre d'une femme âgée est retrouvé, atrocement mutilé. Le premier chapitre nous plonge sans détour dans l’ambiance. Petit coin de campagne en automne, promenade de Paulette avec son chien Banjo, et l’odeur de la charogne.
Grâce à la célèbre SVM (substance volatile mémorielle), les olfates de Fragrancia ont la possibilité de vous faire voyager dans les méandres de votre mémoire, à la rencontre d’émotions et sensations passées. Une perspective qui intéresse aussi la police, qui apprécie de pouvoir compter officieusement sur l’aide de Fragrancia pour des affaires délicates. C’est ainsi qu’Hélias, apprenti olfate doué d’une puissante sensibilité, va se retrouver au coeur d’une enquête épineuse.
Il y a ces ados qui se retrouvent tous les jours à la plage, bruyants, insouciants, seuls au monde. Ils se baignent, flirtent, friment, se lancent des défis comme sauter du haut du troisième plongeoir, le Face-to-Face, le plus dangereux d'entre tous, mortel. Mais, de loin, il y a ce flic qui veille, Sylvestre Opéra.
Lise et Franck, un couple de cinquantenaires travaillant dans le milieu du cinéma, se retrouvent à passer tout le mois d'août dans une maison perdue au milieu des collines, non loin du village d'Orcières, dans le Lot. Un endroit que Lise a choisi soigneusement, parce qu'isolé et en "zone blanche", idéal pour une vraie coupure avec le monde.
« La nuit des femmes », c’est l’histoire de quatre soeurs, Anne, Justine, Isabel et Claire, élevées par leur oncle Bertran, seigneur de Hautefort. Alors que les filles jouissent d’une liberté plutôt exceptionnelle en ce XIIe siècle, le mariage de l’aînée avec l’anglais Arnaud de Carlisle va semer le trouble dans leur existence.
L’histoire se déroule au début du XIXe siècle, en Lozère. Alors que l’hiver bat son plein, le corps sans vie du jeune Anatole Bousquet, étudiant en médecine, est retrouvé près de l’asile où il officiait. Chargé d’enquêter sur sa mort, le juge de paix Victor Chastel va faire d’étonnantes découvertes.
Maud, une jeune femme de vingt-cinq ans qui souffre de troubles psychologiques, se rend chez sa mère suite à un message alarmant. Alors qu’elle déambule dans la maison de son enfance, dans laquelle elle n’était pas revenue depuis l’âge de treize ans, une foule de souvenirs l’assaillent, dont certains sont loin d’être agréables.
L’auteur nous expose deux histoires en parallèle l’une de l’autre, et qui n’ont à priori aucun lien, celle d'Ambre, une adolescente de 17 ans, et d'Arthur, modérateur pour un réseau social.