Nationalité – Littérature française
Paul et Ana sont sur le point de se marier. Pour la cérémonie, cette dernière convie Joseph, un ancien ami d'enfance de son futur époux, pensant lui faire une merveilleuse surprise. Mais la venue de Joseph va provoquer chez Paul un grand bouleversement émotionnel, faisant resurgir une multitude de souvenirs enfouis.
Dans ce roman, deux intrigues se côtoient et chacune va nous plonger tout droit dans les abîmes de l'enfer. La fille d'Esperanza, Mia, onze ans, a disparu il y a de cela sept mois, « volatilisée, par une belle journée d’été ». Anéantie, la policière n'est plus que l'ombre d'elle-même.
Marie, la quarantaine, est mariée à Rodolphe, avec lequel elle a deux grandes filles adolescentes. Ses journées sont marquées par la routine d'un quotidien monotone, tandis que son mari occupe son temps entre son travail et ses maîtresses. Lasse de cette vie et de cette solitude, Marie décide de tout plaquer le jour de l'anniversaire de Rodolphe, laissant derrière elle une simple lettre.
Alexis Laipsker entre très rapidement dans le vif du sujet et donne le ton sans ambages. Un couple est retrouvé mort dans sa maison, fermée de l’intérieur. Compte tenu de la scène, il semblerait que les deux amants se soient entretués, de façon absolument sordide, non sans avoir au préalable enfermé leur enfant dans la cave.
Dana et Basil se sont rencontrés il y a quelques mois. Les deux amoureux sont issus de milieux bien différents, aussi, lorsque Dana va pénétrer dans la grande famille Paternoster, elle va découvrir des mœurs pour le moins spéciales.
Dans ce roman, nous allons suivre Agathe et Emma, deux sœurs qui se retrouvent pour vider la maison de leur grand-mère, suite à son décès. Une maison de vacances pleine de souvenirs évocateurs, douloureux ou chaleureux, et témoin d’une complicité perdue qui ne demande qu’à renaître.
Ardeloup, 1561. Surpris par la rudesse de l’hiver qui s’installe, le docteur Aymar de Noilat, en déplacement, accepte de loger temporairement chez le laboureur du village. Mais, alors qu’il n’est sur place que depuis quelques jours, il doit faire face au terrible mal qui s’empare des habitants, un feu ardent les consumant de l’intérieur, dans d’atroces souffrances.
Juliette est une jeune femme qui vit de manière assez simple, dans une “petite longère nichée dans la verdure, près de la forêt d’Orient”. Son quotidien est rythmé par son travail de femme de ménage pour différents employeurs. Très vite, nous comprenons que sa situation actuelle résulte d’un évènement passé, que nous soupçonnons tragique.
Le 21 août
Hunter est un tueur en série, à moitié indien, qui vient tout juste de s’évader de prison. C’est l’homme que Freeman traque, avec obsession, depuis la disparition de sa fille, douze ans auparavant. Une traque qui va le mener tout droit à Pilgrim's Rest, où l’évadé est revenu chasser sur ses terres.
Dans ce troisième tome, l’auteur nous offre une intrigue sur fond d’épidémie dévastatrice, le choléra morbus, qui plonge le Paris du XIXe dans la terreur. Une peur bleue, à l’instar de ces corps cyanosés que la bactérie a contaminés sur son passage.
Dans ce deuxième tome, j'ai retrouvé la marque de l'auteur, un rythme effréné qui nous emporte sans demi-mesure au cœur d'une intrigue quelque peu surréaliste mais captivante. Les amateurs des thrillers de Nicolas Beuglet ne seront pas dépaysés.
Un jour de pluie, un vieil homme rencontré dans un salon de thé va nous conter l'histoire de Félicité et Agonie, deux sœurs jumelles, l’une passeuse de fantômes, l’autre sorcière. Le décès de leur mère Carmine et leur quête pour retrouver la trace de son fantôme est un peu le point central de ce récit incroyablement riche, où les voix et les époques s'entrelacent.
"On était des loups", c'est le genre de roman qui me procure tout un tas d'émotions, en dépit de sa brièveté. Le genre de roman que je vis plus que je ne lis, d'autant que celui-ci est raconté à la première personne. J'ai été immédiatement séduite par le langage, très oral, qui rend le récit plus authentique et vivant.
Vous pensiez que les romans historiques étaient du genre ennuyeux à mourir ? Maurice Druon nous démontre le contraire avec son histoire de rois maudits ! Dès son premier volet, cette saga révèle son lot d’intrigues ourdies en secret, de personnages retors et d’amants cachés qui font toute la saveur et l’intérêt de cette fresque passionnante.
Imaginez une île en plein mois d’octobre, sur laquelle disparitions et morts étranges se succèdent. Imaginez une brume qui obscurcit l’horizon, des habitants taiseux, un sanatorium malaisant, des yeux sans lueur et d’obscures légendes… Voici ce qui vous attend sur l’île de Blackmore !
La nuit, sur une route peu fréquentée, Vivian, son mari Hadrien et son fils Tom, ont un “accident de voiture”. Alors qu'Hadrien et Tom descendent du véhicule, l’un pour constater les dégâts éventuels, l’autre pour se soulager la vessie, ils vont disparaître sans laisser de trace.
Depuis l’enfance, Hugo Boloren, un policier taciturne, sait qu’il a “Douve dans les veines”. Il a entendu son père le dire à sa mère un jour, et depuis n’a jamais oublié ces paroles. Son père est aujourd’hui décédé, et sa mère, qui n’a plus toute sa tête, reste sourde à toutes ses questions sur le sujet.
L’intrigue se déroule dans les années 70. L’inspecteur principal Schneider vient d’être muté dans une petite ville de l’est de la France. Alors qu’il prend ses quartiers en tant que chef du Groupe criminel, un homme vient signaler la disparition de sa fille Betty, quinze ans.
Quelque part en Alaska, l'hiver, la neige, et le blizzard. Un blizzard qui se lève alors que Bess et l'enfant sont là dehors. Une tempête de neige qui réduit le champ de vision, qui gèle les membres et qui embrume l'esprit. Puis l'enfant qui disparaît.
“Entre fauves” est un roman à quatre voix, quatre personnages avec lesquels on va entrer en résonnance, changer successivement de peau, pour vivre encore plus intensément cette histoire. Un thriller qui nous emmène dans les Pyrénées et la Namibie, entre montagne enneigée et désert aride, mais entre fauves surtout.